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Midi Pile

PSA : 100 millions d'euros pour faire de nouveaux métiers

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C’est un des volets du nouveau plan « Push to pass » d’un groupe automobile PSA qui est « back to the race ». Et, pour le coup, on y pousse pour passer dans des chemins de traverse. Car les constructeurs de voitures Peugeot et Citroën ont pris la mesure de la nouvelle appréhension de leurs produits. Plutôt que de s’entêter dans le cœur de métier, les tricolores ont décidé de prendre l’air en n’allant pas à contre-courant. Qu’on se le dise, ils vont aller ailleurs.

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Billet d'humeur

Et si, chez PSA, on nommait l'ex-patron Philippe Varin employé du mois ?

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Nos confrères sont dithyrambiques et voient en Carlos Tavarès le sauveur de PSA. Mais à la barre du navire depuis deux ans, il a surtout géré efficacement un plan produit établi par son prédécesseur Philippe Varin. Lequel a également permis à Peugeot-Citroën de se renflouer grâce à l'argent de l'Etat français et du groupe chinois Dongfeng. Résultat : le nouveau patron, à force d'économies, a réussi à repasser dans le vert. En attendant de connaître sa véritable stratégie produit, rendons hommage à son prédécesseur mal-aimé.

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Le groupe PSA champion d'Europe de l'utilitaire

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Les utilitaires sont très utiles pour un constructeur automobile. Ils génèrent des marges et encouragent des accords qui font tourner des usines. Une équation que le groupe français PSA a parfaitement comprise en s’alliant avec Toyota pour un nouveau produit qui fera tourner à plein l’usine tricolore de Sevelnord. Cette dernière s’est vue mourir il y a seulement trois ans en voyant les monospaces s’évaporer.  Elle produira à terme entre 70.000 et 100.000 véhicules par an après en avoir fabriqués  60.800 en 2014.

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Anne Hidalgo exhorte Carlos Tavares à faire les bons choix

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En visite au salon de l'automobile de Shanghai, en Chine, le patron du groupe automobile PSA Carlos Tavares s'était interrogé sur les réelles intentions de la maire de Paris Anne Hidalgo dans la mise en œuvre de sa politique de circulation dans la capitale. Une démarche à l'ambition affichée d'éradiquer de la circulation les vieux diesels polluants qualifiés de « voiture sale ». Mais pour l'homme d'industrie, il s'agit en fait d'un écran de fumée cachant mal d'une autophobie que l'on voudrait étouffer. Une position qui est venue aux oreilles de la politique qui n'a pas manqué de réagir.

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