Pour ces infractions qui s'accompagnent bien souvent d'une suspension administrative du permis de conduire, en cas d'interpellation sur le bord de la route, si le policier remplit mal son PV, c'est l'assurance de pouvoir retrouver très vite le droit de rouler. Comment savoir ? En pareilles circonstances, vous n'avez pas à recevoir d'amende par La Poste. Alors, si ça vous arrive, c'est que c'est… gagné ! Explications.
L'Agence Nationale des Titres Sécurisés (ANTS) qui traite notamment, via son portail informatique, toutes les demandes administratives liées au certificat d'immatriculation et au permis de conduire, doit remettre les titres réclamés dans les délais, sous peine de devoir indemniser les usagers concernés. C'est en substance ce que vient de confirmer le Conseil d'État dans une affaire où un automobiliste, défendu par Me Josseaume, s'est retrouvé privé de son permis bien plus longtemps que prévu.
Selon une enquête réalisée par l'assureur Maaf, un jeune de 18/25 ans sur trois a déjà pris le volant sous l'influence de la drogue ou de l'alcool.
L'homme n'était pas en service au moment de l'accident. Mais il a été arrêté avec une alcoolémie trois fois supérieure à la limite légale.
La sanction est lourde pour le gardien de l'équipe de France de football, arrêté à Londres en août pour conduite sous l'emprise de l'alcool.
La mise en place des 80 km/h occupe une telle surface médiatique que d’autres mesures intéressantes annoncées récemment par les autorités passent totalement inaperçues. Il en va ainsi de la conduite sans assurance ou de l’interminable période probatoire imposée aux jeunes permis. Et ce n’est pas tout…
Paradoxe. Alors que les pouvoirs publics serrent toujours plus la vis aux automobilistes côté vitesse, ils font preuve d'un étonnant laisser-aller avec le phénomène de l'alcool au volant, deuxième cause d'accidents mortels en France. Si l'arsenal répressif est complet, ce sont les lacunes de la politique de prévention qui posent problème.
Un homme de 20 ans a été arrêté il y a quelques jours pour une conduite sans permis. Situation a priori banale… mais c'était la sixième fois qu'il était interpellé pour ce motif depuis le 1er janvier.
Il y a quelques jours, les gendarmes de Landerneau ont été appelés pour ce qui ressemblait à un banal accident de circulation. Mais ils sont tombés sur un conducteur qui avait visiblement bu dès potron-minet.
A la suite d'une soirée chez des amis, ce Breton a dû faire un choix un peu difficile pour rentrer chez lui. Son entourage lui ayant subtilisé ses clés de voiture pour ne pas qu'il prenne le volant trop alcoolisé, il décida alors de voler un véhicule un peu particulier pour retourner au bercail.