Cette semaine, nous croisons une nouvelle fois sur la Route de Nuit, une « art car » un genre artistique qui décidément continue d’attirer les artistes.
En 350 pages qui se dévorent, dans lesquelles anecdotes et témoignages se succèdent, le journaliste anglais Kevin Eason retrace l'incroyable histoire de la F1.
Jusqu’à l’orée des années 2000, les autos neuves pouvaient receler de graves défauts de conception et de fabrication, rendant leur achat hasardeux. La presse jouait alors un rôle plus déterminant qu’aujourd’hui pour aider les gens à acheter…
l'expression semble tout droit sortie des années 70. Pourtant, si elle a été popularisée à cette période, elle est beaucoup plus ancienne et remonte à l'une des premières femmes titulaires d'un permis de conduire en France.
Ce soir, la Route de Nuit est très rock-n’-roll. Avec une approche contemporaine qui sied au monde de la Formule 1.
Entre 1956 et 2000, les automobilistes ont dû payer annuellement une taxe indexée sur la puissance fiscale de leur voiture : la fameuse vignette, que personne ne regrette.
La Route de Nuit nous mènera à Compiègne où se prépare une surprenante exposition consacrée à la vitesse. Vaste programme.
La nouvelle série de 5x20 minutes, diffusée sur Canal Plus depuis le 1er novembre, se dévore d'un trait. Et l'on est aussi fortement accro à cet OVNI que son héroïne est addict aux amphétamines. Ce VTC est conduit de main de maître par deux réalisateurs français, et l'époustouflante comédienne Golshifteh Farahani.
De nombreux passionnés pestent contre les aides à la conduite, mais n’est-il pas un tard pour s’élever contre un principe à l’œuvre depuis des années dans l’automobile ?
Cette semaine, nous évoquons un ouvrage hautement recommandable sur la saga du Boxster, qui a fêté ses 25 ans cette année.