Suzuki se joint au débat électrique en nous mettant au courant d'un scooter branché du nom de e-Let's . Le blason d'Hamamatsu ne s'est pas embarrassé de fioritures en dénudant une machine déjà existante, en l'occurrence son « Let's 4 Basket », pour lui adjoindre des batteries au lithium-ion fourni par Panasonic.
La marque Suzuki connait des heures délicates. Elle cherche à récupérer ses billes auprès de Volkswagen, quitte le Moto GP, n'existera plus en Superbike que grâce à une initiative privée Crescent-Yoshimura, et reste avare en nouveautés.
C'est sous une section ovale que se présente le nouveau pot d'éch' Ixrace habillant le dernier opus de la DL 650 V-Strom. La Suzuki a droit à une structure 100% inox pour faire ses vocalises, sans pour autant jouer les castras ni faire d'excès de zèle limitant le passage des contrôles routiers.
Le Superbike est entré en hibernation jusqu'au 15 janvier. Avant cela, il a eu l'occasion d'entrevoir côté piste les travaux de ses usines en vue de la saison 2012 tout en observant d'un oeil critique en coulisse la CRT d'un team Aspar de Moto GP qui a en fait inventé l'Aprilia RSV4 de Grand Prix.
Au moment de fêter son vingt cinquième anniversaire, le mondial Superbike réussit un jolie coup. Celui d'intégrer définitivement la Russie dans son calendrier, pour une épreuve promise le 26 août 2012 sur un tracé qui sort de terre à quelques quatre vingt kilomètres de Moscou.
La première impression que j'ai eu en sillonnant les allées du village clubs, c'est que l'espace qui leurs est réservé me paraît de plus en plus petit d'année en année. Par contre, la qualité du matériel exposé ainsi que le décor des stands ne cessent de progresser.
La trêve hivernale est synonyme de négociations, casse-tête, et certainement nuits blanches pour certains afin de mettre en place un calendrier cohérent pour la saison à venir. Mais petit à petit, les choses se concrétisent et les différents organisateurs nous font parvenir leur programme pour 2012.
Le terme Inazuma au Japon, est identitaire. Il veut dire léger mais il peut aussi être interprété comme minimum ou simple si on le rapporte à quelque chose de motorisé. Ce qui ne veut pas forcément dire au rabais pour autant. Par les temps qui courent qui mettent l'ostentatoire entre parenthèses, il peut même présenter la qualité d'être en phase avec son époque.
Une saison en Moto GP ne lui aurait certes pas déplu, mais se retrouver en Superbike n'est pas pour John Hopkins un pis aller. Il voulait faire une saison internationale dans une écurie en mesure de lui faire jouer les premiers rôles.
C'était la dernière pièce du puzzle LCR-Suzuki en Moto GP à placer. LCR proposait sa Honda à Bautista, Hopkins ou De Puniet et il a choisi finalement Stefan Bradl. Suzuki, de son côté, a pensé garder Bautista avec Hopkins puis s'est taté pour De Puniet, avant de se retirer purement et simplement.
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