La Fuell Flow est la première moto électrique issue de la nouvelle entreprise de motos électriques d'Erik Buell. Elle est désormais disponible en précommande, du moins en Amérique du Nord. L’occasion de donner plus de détails sur la machine.
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Erik Buell est tel le Phénix : il renaît toujours de ses cendres. On l’a cru occis lorsque son partenariat avec Harley-Davidson pour des motos de caractère est tombé à l’eau, on l’a pensé coulé lorsque son ambition avec l’Inde a échoué, mais c’était oublié que l’homme sait nager. Il lui en faut plus pour perdre pied et voici que la fée électricité lui permet de replonger. Des Français sont aussi de cette aventure branchée qui s’appelle Fuell. Comme un pied de nez, d’autant plus que feues les Buell avaient un cadre qui servait de réservoir…
Il semble que le mouvement soit enclenché : après l’auto, la moto, elle aussi, va connaître l’électrification de ses gammes. Un courant qui va aussi redonner vie à des noms effacés de l’aventure thermique. C’est ainsi le cas de Buell dont l’inépuisable père éponyme prénommé Erik annonce son retour aux affaires. Encore sans tambour ni trompettes mais avec des batteries. Et on est d’autant plus enclin à le croire qu’il n’est pas tout seul dans cette aventure…
Erik Buell Racing (EBR pour les intimes) mettra la clef sous la porte si personne ne met la main au portefeuille. La société américaine Erik Buell Racing vient à nouveau d'annoncer la fin de ses activités.
Le trigramme EBR rappelle feue la marque Buell chère au patron éponyme Erik Buell. Du temps de son concubinage avec Harley-Davidson, le blason a égayé le marché de modèles compacts aux solutions originales offrant un caractère fort. Depuis, c'est le désert sous EBR. Mais on ne coince pas la bulle.
Parmi les petites sportives qui font florès, il est une petite américaine qui voudra faire sa place entre les géants Japonais et les blasons Européens alliés avec les Indiens. Justement, elle a aussi un ami Indien, et pas n'importe lequel puisque celui-là vise ouvertement la place de numéro un mondial à Honda.
La catégorie des « sport-tourer » que l'on appelle aussi « sport-adventure » mais qui ont le point commune d'avoir transformé un roadster né d'une sportive en trail musclé fait florès. Ducati a lancé la mode et BMW a embrayé tandis que KTM n'est pas en reste.
L'Inde arrive et les marchés européens vont devoir prendre en compte sa puissance et sa philosophie des coûts bas. Notez bien l'orthographe car la stratégie est limpide. Mahindra a racheté Peugeot et ses scooters tandis que Hero, lui, arrive seul avec, pour les motos, l'appui d'Erik Buell.
Les petites sportives font décidément florès sur un marché de la moto qui s'adapte à une demande qui, elle-même, compte ses sous. Mais qui ne veut pas pour autant se priver du plaisir de chevaucher des machines de caractère. KTM a flairer la tendance qui s'écoule aussi sur les marché émergents avec un partenaire indien Bajaj solide.
La marque indienne Hero ne vous dit peut être pas grand chose. Mais c'est pourtant un géant dans les pays émergents qui se donne les moyens de se faire une place de choix sur le marché de la moto. Le constructeur indien veut carrément se payer le scalp de Honda tandis qu'il chasse les têtes pour étoffer son équipe.
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