L'art du voyage...certifié DS Automobiles
Que cela nous déplaise ou pas, la société nous juge à partir de l’image que l’on donne de soi. Dans cet esprit, la marque DS Automobiles fait tout pour peaufiner sa notoriété et légitimer sa place au sommet de l’industrie française
Depuis que la société DS Automobiles a pris son autonomie, le 1er juin 2014, au sein du groupe PSA Peugeot Citroën (désormais Stellantis), elle s’acharne à justifier une position d’excellence dans la production automobile française.
Les initiales magiques sont aujourd’hui associées à un documentaire intitulé « L’art du voyage », un film diffusé depuis le 11 mai sur la plate-forme Prime Video.
Le scénario raconte le voyage d’un journaliste solitaire et curieux à travers la France. Quelques lieux emblématiques de l’art de vivre à la française ont été choisis.
L’itinéraire démarre à Paris, dans un lieu historique, la piscine Molitor qui inaugurée en 1929, fermée en 1989, puis abandonnée, a été somptueusement transformée en hôtel cinq étoiles (le Molitor MGallery).
Luxe et patrimoine correspondent aux valeurs que DS Automobiles fusionne. On peut certes contester la définition des DS - pourquoi tant de SUV ? - mais sûrement pas la qualité d’exécution de leurs intérieurs qui mettent en valeur les artisanats traditionnels. *
Le fil rouge du film est une lente déambulation dans le confort silencieux d’une DS 7 à travers une France qui semble moins peuplée et aussi dépaysante que le Kirghizistan. L’exclusivité est le maître-mot de l’art du voyage.
Notre vagabond solitaire visite des lieux de rêve sans être importuner par des hordes de touristes en tongs. Il jouit pour lui tout seul du château de Chenonceau et de ses jardins, et pour être sûr d’échapper à l’horreur du tourisme de masse, il survole seul le Val de Loire à bord d’une montgolfière. Seul. Délicieux égoïsme.
Plus loin, il découvre les décors de l’Orient Express qui sera remis sur ses rails en 2025. Là encore, le luxe d’hier se marie avec le confort d’aujourd’hui.
La célébration de l’art du voyage passe par la Corse. Pas celle des plages surpeuplées et des randonneurs qui polluent le GR20, mais l’île de Beauté, la vraie, la sauvage.
La DS7 fait escale sur le domaine de Murtoli où une nuée de bergeries sont cachées dans le maquis. Derrière ce décor qui semble n’avoir jamais été dégradé par la main de l’homme se déploie l’un des sites les plus sophistiqués, les plus secrets et les plus… coûteux qu’on puisse imaginer.
Le charme de la tranquillité, du silence, de l’exclusivité, de la misanthropie a un prix. L’élitisme ne se brade pas.
La morale de l’histoire nous enseigne que rouler en DS est un luxe finalement plus abordable que beaucoup d’expériences hors de prix !
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