2. Essai Harley-Davidson XL48 Forty Eight - La plastique: Le minimum fait le maximum
Le réservoir que l'Histoire a baptisé « Peanut » n'est pas l'accessoire qui compte pour des cacahuètes pour ce custom qui s'est aussi affublé d'une galette avant ostentatoire. Une selle mono laissant apparaître un support aux trous suggérant la décharge de chevrotine et des rétroviseurs glissés sous les commandes du guidon type custom low profile, le moins que l'on puisse dire c'est que l'on a travaillé les détails pour démarquer ce Sportster de ces frères.
Comme toujours, lorsque H-D s'approprie un item, il ne fait pas de faute de goût et dans le genre mauvais garçon, ce XL48 excelle. Le garde-boue arrière tronqué et sans feu n'est pas une nouveauté dans la famille mais c'est comme si dans cet ensemble visuellement abaissé il se trouvait sublimé. Le 1 200 V-Twin Evolution noir et poli avec des touches de chrome a tout juste sa place et montre sans pudeur ses muscles, comme une invite à la baston.
Le Forty Eight envoute et hypnotise dès qu'il se pose sur sa béquille latérale. Le charme agit sans préliminaire, et croiser son regard, c'est recevoir un direct du droit à vous décrocher la mâchoire. Joli travail de la part de Harley, mais ce n'est pas tout de faire banquette. Il va falloir à présent se lancer pour de bon dans la danse.
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