elle arrive en collection

Recelant, contrairement à ce que son appellation suggère, un gros 3,0 l atmo, la 125i, que ce soit en coupé ou en cabriolet, distille un très grand plaisir en conduite courante. Grâce à l’orchestre en 6-en-ligne majeur qui joue sous son capot !

Après la disparition de l’exceptionnelle Renault Clio III RS, la Ford Fiesta ST a repris le flambeau dans la catégorie des petites sportives. Performante et efficace, elle incarne le meilleur d’un type de voiture en train de disparaître. Et sa cote grimpe !

Dérivant de la VW Golf I, la Scirocco II, quand elle bénéficie du 1,8 l 139 ch, propose des performances dignes de celle de la mythique GTI Oettinger tout en coûtant bien moins cher. Et elle n’est guère plus courante !

Une fois dotée d’un turbo, la paisible familiale 505 se transforme en excellente sportive des familles, ce que Peugeot n’avait alors jamais proposé. Le sochalien débutait alors un renouveau qui allait déboucher sur la 205 GTI…

Avec ses 240 ch déboulant sur le train avant, l’Opel Astra H demande de la poigne pour être menée sportivement. Mais n’est-ce pas ce brin de folie qui en fait tout le sel, à une époque où les autos sont toujours plus avares de sensations ?

On redécouvre peu à peu la charmante Fiat 128, qui a marqué son époque par des solutions techniques simples et modernes qui ont été reprises par tous les constructeurs généralistes. Une des autos les plus importantes de l’après-guerre.

Au contraire du coupé Classe E C124 qu’il remplace, le CLK C208 bénéficie d’un bon gros V8 atmo gorgé de puissance et de couple, qui en fait une proposition des plus intéressantes, comme il n’y en aura plus chez Mercedes. De plus, il constitue une alternative valable à la BMW M3.

Chef d’œuvre d’ânerie marketing, la Laguna III recèle pourtant un extraordinaire châssis à quatre roues directrices qui lui garantit une efficacité de super-sportive. Une qualité qu’on redécouvre peu à peu, d’où une cote en hausse.

Star des stars d’Hollywood, la Mercedes SL R107 USA a colonisé les écrans dans les années 80 : qui a oublié ses gros parechocs et ses projecteurs circulaires ? Ces roadsters sont à l’heure actuelle bien moins prisés que leurs homologues européens alors que leurs qualités sont - presque - les mêmes.

Nantie d’un V8 biturbo de 450 ch, cette familiale de feu gratifie de performances toujours époustouflantes, tout en demeurant très facile d’usage. Mais attention aux frais de maintenance…