Par JF2
L'auteure de bonjour tristesse était connue pour son goût de la vitesse, de la provocation, des belles voitures mais aussi pour sa générosité et sa facilité à flamber ses à valoir, bel achat quand même en 66.
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Par JF2
L'auteure de bonjour tristesse était connue pour son goût de la vitesse, de la provocation, des belles voitures mais aussi pour sa générosité et sa facilité à flamber ses à valoir, bel achat quand même en 66.
Par §gog158mW
En réponse à JF2
L'auteure de bonjour tristesse était connue pour son goût de la vitesse, de la provocation, des belles voitures mais aussi pour sa générosité et sa facilité à flamber ses à valoir, bel achat quand même en 66.
L'acheteur de l'Aston a bien du retrouver quelques substances illicites ici et là sous les tapis.
Ceci dit, l'âge ne l'a pas assagit bien au contraire :
https://www.youtube.com/watch?v=7QfUXQaCcUA
Par §All438Zw
Le boom de ces "voitures de collection" n'est que spéculatif, aucun amour pour l'automobile ne les motive, elles finissent dans des entrepôt chloroforme en attendant de faire une plus-value.
Ces engins atteignent des prix honteux, sans mesure avec leur valeur réelle.
Par charly177
En réponse à §All438Zw
Le boom de ces "voitures de collection" n'est que spéculatif, aucun amour pour l'automobile ne les motive, elles finissent dans des entrepôt chloroforme en attendant de faire une plus-value.
Ces engins atteignent des prix honteux, sans mesure avec leur valeur réelle.
Pas tout-à-fait d'accord. Pendant longtemps, la restauration d'une Aston Martin "David Brown" a coûté plus cher que la valeur de l'auto. Ceux qui se sont lancés dans l'aventure et ont été très patients, sont maintenant récompensés. Nombreux sont ceus qui ont renoncé après avoir dépensé des dizaines de milliers d'euros et ne pas voir le bout du chantier. Il est vrai qu'il y a de la spéculation et que certains prix sont surfaits (des sorties de grange en lambeaux vendues 250.000 €). Mais c'est plus complexe. Restaurer une DB5 est très cher en raison du processus de fabrication Superleggera. Le châssis (un treillis plein de petits tubes) est en acier et la carrosserie est en aluminium. Au point de contact, se produit une électrolyse. Très difficile à restaurer et donc très onéreux. Moteur straight-six fabuleux qui nécessite l'intervention de mécaniciens ultra-qualifiés. Beaucoup d'accesoires, d'accastillage. A noter que la DB6, très proche pourtant, n'est plus assemblée sur le modèle Superleggera ; c'est une monocoque en acier.
Par §All438Zw
En réponse à charly177
Pas tout-à-fait d'accord. Pendant longtemps, la restauration d'une Aston Martin "David Brown" a coûté plus cher que la valeur de l'auto. Ceux qui se sont lancés dans l'aventure et ont été très patients, sont maintenant récompensés. Nombreux sont ceus qui ont renoncé après avoir dépensé des dizaines de milliers d'euros et ne pas voir le bout du chantier. Il est vrai qu'il y a de la spéculation et que certains prix sont surfaits (des sorties de grange en lambeaux vendues 250.000 €). Mais c'est plus complexe. Restaurer une DB5 est très cher en raison du processus de fabrication Superleggera. Le châssis (un treillis plein de petits tubes) est en acier et la carrosserie est en aluminium. Au point de contact, se produit une électrolyse. Très difficile à restaurer et donc très onéreux. Moteur straight-six fabuleux qui nécessite l'intervention de mécaniciens ultra-qualifiés. Beaucoup d'accesoires, d'accastillage. A noter que la DB6, très proche pourtant, n'est plus assemblée sur le modèle Superleggera ; c'est une monocoque en acier.
Je ne suis pas un spécialiste, je te croirai sur parole.
Mais les vrais collectionneurs doivent vivre et malheureusement meurt, la revente est plus forte que jamais.
Les acheteurs ne cherchent qu'à faire un placement, avec en plus un peu de charme.
Par §Fré740ko
Merci pour cet article. Mais permettez-moi de donner une précision au sujet de l'Aston Martin DB6 présentée ici et qui n'a jamais appartenue à Françoise Sagan.
Après son accident, en avril 1957, à bord d'un cabriolet Aston Martin DB2/4, Françoise Sagan n'a plus jamais voulu posséder de voiture de cette marque.
La DB6 en question, présentée au salon suisse Geneva Classics en 2009, à l'état de projet de restauration, et mentionnant déjà la provenance "saganesque", a en fait été acquise par Jacques Quoirez, frère de Françoise Sagan; laquelle n'a jamais conduit cette voiture et n'a même jamais voulu monter à bord, comme me l'a confirmé encore hier Denis Westhoff, fils de Françoise Sagan, qui se souvient parfaitement de cette DB6 rouge de son oncle.
Certes, les papiers de la voiture comportent un bon de commande au nom de Quoirez. Mais il s'agit de Jacques. Ce que je mentionne dans l'un de mes livres consacrés à Aston Martin
Entre légende urbaine et réalité...
Bien à vous,
Frédéric Brun
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