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Commentaires - Affaire Carlos Ghosn - Interview de Bernard Jullien: « L’Alliance ne disparaîtra pas ! »

Pierre-Olivier Marie

Affaire Carlos Ghosn - Interview de Bernard Jullien: « L’Alliance ne disparaîtra pas ! »

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Par

"En face, le lead de Renault est insupportable pour les japonais qui croient qu’ils sont meilleurs."

C'est une vraie transcription depuis la cour de récré ?

Par §mou747bF

Non, je suis là prêt à prendre les rennes si RENAULT The First m' appelle ..!!

Par

En réponse à §mou747bF

Non, je suis là prêt à prendre les rennes si RENAULT The First m' appelle ..!!

   

Pauvres rennes :peur:

Par §ZYX630Uf

En réponse à §mou747bF

Non, je suis là prêt à prendre les rennes si RENAULT The First m' appelle ..!!

   

Rênes...inculte

Par §ZYX630Uf

En réponse à nicotdi

Pauvres rennes :peur:

   

Il a peut etre voulu dire reines, là c'est autre chose...lol

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Par

En réponse à §ZYX630Uf

Il a peut etre voulu dire reines, là c'est autre chose...lol

   

Depuis que Carlito est en taule il a craqué... j espère qu il va nous faire une dépression

Par

Qu il va pas oups

Par §bze020bz

C'est peut-être un signe du destin: "l'alliance doit continuer, avec ou sans moi !". L'Alliance n'est pas seulement une alliance pour qui que ce soit mais est, grâce à Ghosn, une entité. Ghosn n'a pas su ou n'aura pas le temps de préparer le futur de l'Alliance, espérons que les clivages, les différences, les patriotismes ou les égos en seront capables… sans lui… A suivre.

Par §mou747bF

En réponse à §ZYX630Uf

Rênes...inculte

   

Les rennes du traineau NISSAN ballot, je savais que tu tomberais dedans de plain-pied ..!!

Par §ZYX630Uf

En réponse à §mou747bF

Les rennes du traineau NISSAN ballot, je savais que tu tomberais dedans de plain-pied ..!!

   

Mais oui, mais oui....

Par

En réponse à PlasticMoussey

"En face, le lead de Renault est insupportable pour les japonais qui croient qu’ils sont meilleurs."

C'est une vraie transcription depuis la cour de récré ?

   

Non mais ca c'est la réalité.

Les japonais n'ont jamais accepté que Renault dépasse le seuil des 50% parce qu'ils tiennent à être 'autonome' et ne pas être une filiale mais un partenaire.

Les japonais s'estiment meilleurs parce qu'ils font beaucoup plus de ventes et font plus de bénéfices que les francais donc ils voient leur marque comme meilleure que Renault.

Les japonais ont cherché à destituer Ghosn pour prendre le controle du groupe ou rabattre les cartes.

Je crois surtout qu'il ne faut pas être niais ou attentistes, les japonais sont passés à l'attaque en éjectant Ghosn pour prendre le controle de l'alliance.

On l'a vu clairement avec Nissan qui au lieu de défendre son patron, l'accable et le charge.

Ceux qui pensent que rien ne va changer et qu'un francais prendra la place de Ghosn et rien ne changera se trompent. Clairement les japonais ont un plan de prévu et la destitution de Ghosn est la première étape du plan.

Par §mou747bF

En réponse à n1cool

Non mais ca c'est la réalité.

Les japonais n'ont jamais accepté que Renault dépasse le seuil des 50% parce qu'ils tiennent à être 'autonome' et ne pas être une filiale mais un partenaire.

Les japonais s'estiment meilleurs parce qu'ils font beaucoup plus de ventes et font plus de bénéfices que les francais donc ils voient leur marque comme meilleure que Renault.

Les japonais ont cherché à destituer Ghosn pour prendre le controle du groupe ou rabattre les cartes.

Je crois surtout qu'il ne faut pas être niais ou attentistes, les japonais sont passés à l'attaque en éjectant Ghosn pour prendre le controle de l'alliance.

On l'a vu clairement avec Nissan qui au lieu de défendre son patron, l'accable et le charge.

Ceux qui pensent que rien ne va changer et qu'un francais prendra la place de Ghosn et rien ne changera se trompent. Clairement les japonais ont un plan de prévu et la destitution de Ghosn est la première étape du plan.

   

La partie coiffée par Ghosn pour RENAULT revient à l 'administrateur Philippe Lagayette et Thierry Bolloré, numéro deux de l' entreprise. Donc attendons les développements, je suis sur le coup prêt à les épauler ..!!

Par §Tea183cM

En réponse à §mou747bF

Non, je suis là prêt à prendre les rennes si RENAULT The First m' appelle ..!!

   

vas plutôt apporter des oranges a ton pote carlos.....ah ah ah ah

Par

En réponse à §mou747bF

La partie coiffée par Ghosn pour RENAULT revient à l 'administrateur Philippe Lagayette et Thierry Bolloré, numéro deux de l' entreprise. Donc attendons les développements, je suis sur le coup prêt à les épauler ..!!

   

Et tu vas voir ensuite que les japonais vont répudier ce duo ou le contester en arguant qu'ils ont eux-meme un dirigeant japonais apte pour diriger l'Alliance et qu'ils le trouvent plus qualifié.

De là va s'ensuivre un méli-mélo politique entre le gouvernement francais et celui japonais qui veulent placer leur 'champion' pour aboutir au résultat qu'il n'y a pas de solutions possibles. Aucun compromis sera trouvé. Les francais vont imposer Bolloré comme nouveau PDG de l'Alliance Renault-Nissan et les japonais vont refuser d'écouter ses directives. Ce sera un PDG sans autorité.

Apres encore quelques semaines de méli-mélo dramatico-politico-judiciaire qui aura fait les choux gras de journalistes auto et d'actu en manque de scoops, l'alliance Renault-Nissan sera dissoute.

Malgré le fait que Renault détient 43% de Nissan motors, les japonais n'ecouteront pas les ordres venant d'un français et de l'État francais, premier actionnaire du groupe japonais.

Les japonais mettront les francais devant le fait accompli. Ils leur diront soit vous laisseznun japonais prendre le controle de l'alliance soit on lance une OPA sur Renault par l'intermédiaire de Mitsubishi vu que Nissan n'a pas assez d'administrateurs japonais au conseil pour voter une résolution d'une OPA sur Renault sa.

Là l'État francais aura deux options. Soit il rachete 7% de Nissan motors sur les marchés financiers pour faire pression sur Nissan mais ca ne marchera pas car l'État francais n'a pas l'argent pour acheté ces 7% de capital et de plus c'est surtout 35% de Renault que l'État francais devra acheter pour bloquer une OPA qur Renault ce qui coûtera plus cher que les 7% de Nissan alors qu'il ne peut déjà pas se les payer.

Clairement c'est la fin de l'Alliance cette histoire avec la chute de Ghosn. Les japonais veulent prendre le controle de l'alliance ou se barrer sinon ils acheteront Renault si les deux premieres options sont refusés par le gouvernement francais.

Les japonais n'ont pas éjectés Ghosn (suffit de voir comment Nissan et Mitsubishi ont lâché Ghosn alors meme qu'il est juste inculpé, pas condamné) pour qu'un autre français prenne sa place. Ils ont fait cela pour faire basculer le pouvoir en leur faveur au sein de l'alliance.

Ca semble clair et net.

Par §ren104yw

En réponse à §Tea183cM

vas plutôt apporter des oranges a ton pote carlos.....ah ah ah ah

   

Et à la fin de l'année il lui apportera un lot de consolation : celui de titre de l'éternel Poulidor de la production automobile.

Par §ren104yw

En réponse à n1cool

Et tu vas voir ensuite que les japonais vont répudier ce duo ou le contester en arguant qu'ils ont eux-meme un dirigeant japonais apte pour diriger l'Alliance et qu'ils le trouvent plus qualifié.

De là va s'ensuivre un méli-mélo politique entre le gouvernement francais et celui japonais qui veulent placer leur 'champion' pour aboutir au résultat qu'il n'y a pas de solutions possibles. Aucun compromis sera trouvé. Les francais vont imposer Bolloré comme nouveau PDG de l'Alliance Renault-Nissan et les japonais vont refuser d'écouter ses directives. Ce sera un PDG sans autorité.

Apres encore quelques semaines de méli-mélo dramatico-politico-judiciaire qui aura fait les choux gras de journalistes auto et d'actu en manque de scoops, l'alliance Renault-Nissan sera dissoute.

Malgré le fait que Renault détient 43% de Nissan motors, les japonais n'ecouteront pas les ordres venant d'un français et de l'État francais, premier actionnaire du groupe japonais.

Les japonais mettront les francais devant le fait accompli. Ils leur diront soit vous laisseznun japonais prendre le controle de l'alliance soit on lance une OPA sur Renault par l'intermédiaire de Mitsubishi vu que Nissan n'a pas assez d'administrateurs japonais au conseil pour voter une résolution d'une OPA sur Renault sa.

Là l'État francais aura deux options. Soit il rachete 7% de Nissan motors sur les marchés financiers pour faire pression sur Nissan mais ca ne marchera pas car l'État francais n'a pas l'argent pour acheté ces 7% de capital et de plus c'est surtout 35% de Renault que l'État francais devra acheter pour bloquer une OPA qur Renault ce qui coûtera plus cher que les 7% de Nissan alors qu'il ne peut déjà pas se les payer.

Clairement c'est la fin de l'Alliance cette histoire avec la chute de Ghosn. Les japonais veulent prendre le controle de l'alliance ou se barrer sinon ils acheteront Renault si les deux premieres options sont refusés par le gouvernement francais.

Les japonais n'ont pas éjectés Ghosn (suffit de voir comment Nissan et Mitsubishi ont lâché Ghosn alors meme qu'il est juste inculpé, pas condamné) pour qu'un autre français prenne sa place. Ils ont fait cela pour faire basculer le pouvoir en leur faveur au sein de l'alliance.

Ca semble clair et net.

   

C'est plausible d'autant plus que certains milieux disennt que le cric s'est déjà remboursé plus de 3 fois.

Par

Sale temps,les mouches pètent.En cas de séparation,qu'adviendra-t-il des lignes de production Alliance au Brésil,Russie,Inde et Chine?.Des moteurs en commun?.Du R&D?.Ils se sentent assez forts pour exister seuls,sans Renault,les Japonais?.En tous cas si Macron ne redistribue pas les pouvoirs et s'entête à défendre le leadership français,il ne laissera pas le choix aux Japonais.Et ce sera la cata pour Renault.

Par §ren104yw

En réponse à p.martin.pm

Sale temps,les mouches pètent.En cas de séparation,qu'adviendra-t-il des lignes de production Alliance au Brésil,Russie,Inde et Chine?.Des moteurs en commun?.Du R&D?.Ils se sentent assez forts pour exister seuls,sans Renault,les Japonais?.En tous cas si Macron ne redistribue pas les pouvoirs et s'entête à défendre le leadership français,il ne laissera pas le choix aux Japonais.Et ce sera la cata pour Renault.

   

Clair que c'est le cric qui a le plus a perdre d'une séparation , il figurerait peut-être dans le top 10 mondial en 8ème ou 9ème position et moulache disparaîtrait des écrans.

Par

Pour moi aussi c'est clair, le cric est en train de devenir japonais à moyen terme(après un bras de fer politique face à Micron) :jap:

Par

En réponse à §ren104yw

Clair que c'est le cric qui a le plus a perdre d'une séparation , il figurerait peut-être dans le top 10 mondial en 8ème ou 9ème position et moulache disparaîtrait des écrans.

   

Derrière PSA ça c'est certain :oui:

Par §ren104yw

En réponse à TDPeugeot

Derrière PSA ça c'est certain :oui:

   

Tout à fait.

Par

En réponse à n1cool

Non mais ca c'est la réalité.

Les japonais n'ont jamais accepté que Renault dépasse le seuil des 50% parce qu'ils tiennent à être 'autonome' et ne pas être une filiale mais un partenaire.

Les japonais s'estiment meilleurs parce qu'ils font beaucoup plus de ventes et font plus de bénéfices que les francais donc ils voient leur marque comme meilleure que Renault.

Les japonais ont cherché à destituer Ghosn pour prendre le controle du groupe ou rabattre les cartes.

Je crois surtout qu'il ne faut pas être niais ou attentistes, les japonais sont passés à l'attaque en éjectant Ghosn pour prendre le controle de l'alliance.

On l'a vu clairement avec Nissan qui au lieu de défendre son patron, l'accable et le charge.

Ceux qui pensent que rien ne va changer et qu'un francais prendra la place de Ghosn et rien ne changera se trompent. Clairement les japonais ont un plan de prévu et la destitution de Ghosn est la première étape du plan.

   

C'est du grand n'importe quoi ton discours. Ghosn a toujours favorisé Nissan (après tout sa boîte d'origine) au détriment de Renault. Si Nissan vend 1,2 million de voitures en Chine et pas Renault c'est un choix de Ghosn, pour ne prendre qu'un seul exemple...

Par

"Il y a quelques années, j’entendais souvent dire que Carlos Tavares ne pouvait être que le second d’un Carlos Ghosn. Regardez la suite…"

Bien Français de critiquer avant de laisser le temps aux futurs patrons ou dirigeants de montrer de ce qu'ils sont capable, méfiez-vous des apparences souvent trompeuses, un exemple assez récent avec Fillon, bien sur tout rapport et pourtant...

Bienvenue à Monsieur Bolloré à la présidence de l'alliance et merde comme on le dit dans ces cas là.

Par

C'est juste et notre amis n1cool n'a pas pris en compte le discours de Hiroto Saikawa qui pense que rien ne va changer pour Nissan avec l'alliance entre Renault et Mitsubishi, restons calme et n'interprétons pas des scénarios sans raison.

Par

En réponse à tointoin2

C'est juste et notre amis n1cool n'a pas pris en compte le discours de Hiroto Saikawa qui pense que rien ne va changer pour Nissan avec l'alliance entre Renault et Mitsubishi, restons calme et n'interprétons pas des scénarios sans raison.

   

Réponse à SteppeOuais

Par

Stabilité au sommet de la pyramide... Facile à dire !

Si on regarde sur les 6 derniers mois, il y a un paquet de grandes têtes qui ont sautées chez Renault. Des Directeurs que personne ne connait, mais qui avaient de grandes responsabilités... Certains n'ont même pas été remplacés !!!

Je crois donc surtout qu'il y avait une obligation de renouvellement au sein de Renault, c'était programmé et Ghosn n'était que le dernier coup de la partie d'échecs... La seule question qui reste est de savoir quels bénéfices tireront les japonais de cette histoire.

Par §Pey136cn

Outre les commentaires partisans inutiles façon "renaultbeurkbeurk", on n'évoque que peu la tradition nipponne en la matière ;

Je ne préjugerai ni de l'innocence ni de la culpabilité de Ghosn, mais la méthode employée contre le PDG n'est culturellement pas "habituelle" ;

Ok, Ghosn est étranger, mais une dizaine "d'inspecteurs" qui montent dans le jet, les caméras - qui coupent juste avant la descente -, la déclaration grandiose du n°2 de Nissan, les "témoignages" qui sortent comme des petits pains...sacrée orchestration hollywoodienne pour des nippons !

Puisque Ghosn est un étranger, il m'est juste inimaginable de croire que Nissan (et ses cadres japonnais, ça a son importance) ait pu accorder des faveurs aussi larges (villas financées pour les "vacances de Carlos", par exemple) et que rien n'ait fuité depuis tant d'années ;

Ce n'est absolument pas possible au Japon !

Carlos Ghosn connaissant assurément les us et coutumes locales, c'eut été suicidaire...

Le fond de cette chute - on le saura à postériori - touche à mon avis bien davantage au fait que l'État français a joué des coudes avec [contre] Nissan et les autorités japonaises il y a quelques années : Ghosn, étranger vieillissant, sur le départ, est ici un fusible qui sert les intérêts nippons quand à prendre la barre de leur navire échoué il y a 19 ans...ça, c'est typiquement japonais.

Quand à la fraude fiscale, Ghosn, comme beaucoup de ceux aux portefeuilles bien remplis, a évidemment confié sa feuille d'impôts aux "meilleurs fiscalistes", puis apposé sa signature : c'est ce que la majorité ferait, non...?

Nissan moribond est devenu colosse sur les principaux marchés, a mis la main sur Mitsubishi et fomente assurément la main-mise sur l'alliance...à tout le moins, envisage que sa voix soit plus forte que celle de son "tuteur" d'alors, Renault ;

Les nippons ne sont toutefois pas idiots et savent que sans Renault (participations financières croisées, mais aussi usines, plateformes, moteurs, composants communs, ...), il n'y a pas de futur ;

Aussi fiers soient-ils, les japonais ne prendraient pas le risque de refaire couler le navire...et se risquer à une autre nouvelle main-mise étrangère (Ni Toyota, ni Honda, ni Suzuki ne pourraient/voudraient acquérir/sauver Nissan d'un pareil naufrage)

L'égo de Carlos Ghosn énerve en haut lieu (ici comme au Japon) de longue date ;

Gare à ce que l'égo de Nissan (et des autorités japonaises) peut avoir de désastreux...

Par

En réponse à n1cool

Et tu vas voir ensuite que les japonais vont répudier ce duo ou le contester en arguant qu'ils ont eux-meme un dirigeant japonais apte pour diriger l'Alliance et qu'ils le trouvent plus qualifié.

De là va s'ensuivre un méli-mélo politique entre le gouvernement francais et celui japonais qui veulent placer leur 'champion' pour aboutir au résultat qu'il n'y a pas de solutions possibles. Aucun compromis sera trouvé. Les francais vont imposer Bolloré comme nouveau PDG de l'Alliance Renault-Nissan et les japonais vont refuser d'écouter ses directives. Ce sera un PDG sans autorité.

Apres encore quelques semaines de méli-mélo dramatico-politico-judiciaire qui aura fait les choux gras de journalistes auto et d'actu en manque de scoops, l'alliance Renault-Nissan sera dissoute.

Malgré le fait que Renault détient 43% de Nissan motors, les japonais n'ecouteront pas les ordres venant d'un français et de l'État francais, premier actionnaire du groupe japonais.

Les japonais mettront les francais devant le fait accompli. Ils leur diront soit vous laisseznun japonais prendre le controle de l'alliance soit on lance une OPA sur Renault par l'intermédiaire de Mitsubishi vu que Nissan n'a pas assez d'administrateurs japonais au conseil pour voter une résolution d'une OPA sur Renault sa.

Là l'État francais aura deux options. Soit il rachete 7% de Nissan motors sur les marchés financiers pour faire pression sur Nissan mais ca ne marchera pas car l'État francais n'a pas l'argent pour acheté ces 7% de capital et de plus c'est surtout 35% de Renault que l'État francais devra acheter pour bloquer une OPA qur Renault ce qui coûtera plus cher que les 7% de Nissan alors qu'il ne peut déjà pas se les payer.

Clairement c'est la fin de l'Alliance cette histoire avec la chute de Ghosn. Les japonais veulent prendre le controle de l'alliance ou se barrer sinon ils acheteront Renault si les deux premieres options sont refusés par le gouvernement francais.

Les japonais n'ont pas éjectés Ghosn (suffit de voir comment Nissan et Mitsubishi ont lâché Ghosn alors meme qu'il est juste inculpé, pas condamné) pour qu'un autre français prenne sa place. Ils ont fait cela pour faire basculer le pouvoir en leur faveur au sein de l'alliance.

Ca semble clair et net.

   

N'importe quoi...

Je te recommande de voir qui a la majorité des votes meme relative chez Nissan..

Et automatiquement qui a une majorité de blocage pour toutes les decisions de Nissan... et donc de Mitsubishi.

.

Les japonais peuvent détester qui ils veulent... Ils n'ont pas d'influence sur cet état de fait.

Par

ce Ghosn restera un grand bonhomme.

Par

En réponse à §bze020bz

C'est peut-être un signe du destin: "l'alliance doit continuer, avec ou sans moi !". L'Alliance n'est pas seulement une alliance pour qui que ce soit mais est, grâce à Ghosn, une entité. Ghosn n'a pas su ou n'aura pas le temps de préparer le futur de l'Alliance, espérons que les clivages, les différences, les patriotismes ou les égos en seront capables… sans lui… A suivre.

   

L’Alliance Renault Nissan Mitsubishi (qui n'est pas un "groupe", mais une "alliance") peut parfaitement disparaître, ce n'est pas plus compliqué que de se débarrasser d'un membre d'un "groupe" (exemple récent: GM avec Vauxhall/Opel).

Dans le monde, lorsque le "groupe Nissan" (pratiquement présent dans le monde entier) vend 100 véhicules, le "groupe Renault" n'en vend que 46.

Depuis 2011, Carlos ne déclarait au Japon que la moitié de ce qu'il devait déclarer, etc...

Le Japon n'est pas un pays laxiste comme la France; au Japon si vous êtes condamné à un seul jour de prison, vous effectuez réellement ce jour de prison. C'est autre chose que ce qui a été mis en place en France par la garde des Sceaux Christiane Taubira (ministre de la Justice de la France du 16 mai 2012 au 27 janvier 2016).

Par

En réponse à n1cool

Et tu vas voir ensuite que les japonais vont répudier ce duo ou le contester en arguant qu'ils ont eux-meme un dirigeant japonais apte pour diriger l'Alliance et qu'ils le trouvent plus qualifié.

De là va s'ensuivre un méli-mélo politique entre le gouvernement francais et celui japonais qui veulent placer leur 'champion' pour aboutir au résultat qu'il n'y a pas de solutions possibles. Aucun compromis sera trouvé. Les francais vont imposer Bolloré comme nouveau PDG de l'Alliance Renault-Nissan et les japonais vont refuser d'écouter ses directives. Ce sera un PDG sans autorité.

Apres encore quelques semaines de méli-mélo dramatico-politico-judiciaire qui aura fait les choux gras de journalistes auto et d'actu en manque de scoops, l'alliance Renault-Nissan sera dissoute.

Malgré le fait que Renault détient 43% de Nissan motors, les japonais n'ecouteront pas les ordres venant d'un français et de l'État francais, premier actionnaire du groupe japonais.

Les japonais mettront les francais devant le fait accompli. Ils leur diront soit vous laisseznun japonais prendre le controle de l'alliance soit on lance une OPA sur Renault par l'intermédiaire de Mitsubishi vu que Nissan n'a pas assez d'administrateurs japonais au conseil pour voter une résolution d'une OPA sur Renault sa.

Là l'État francais aura deux options. Soit il rachete 7% de Nissan motors sur les marchés financiers pour faire pression sur Nissan mais ca ne marchera pas car l'État francais n'a pas l'argent pour acheté ces 7% de capital et de plus c'est surtout 35% de Renault que l'État francais devra acheter pour bloquer une OPA qur Renault ce qui coûtera plus cher que les 7% de Nissan alors qu'il ne peut déjà pas se les payer.

Clairement c'est la fin de l'Alliance cette histoire avec la chute de Ghosn. Les japonais veulent prendre le controle de l'alliance ou se barrer sinon ils acheteront Renault si les deux premieres options sont refusés par le gouvernement francais.

Les japonais n'ont pas éjectés Ghosn (suffit de voir comment Nissan et Mitsubishi ont lâché Ghosn alors meme qu'il est juste inculpé, pas condamné) pour qu'un autre français prenne sa place. Ils ont fait cela pour faire basculer le pouvoir en leur faveur au sein de l'alliance.

Ca semble clair et net.

   

La sœur ainée de C. G. ne travaille pas pour le groupe Nissan; comment C.G. pourra-t-il justifier de lui avoir fait verser par le groupe Nissan chaque année depuis 2002, un salaire de 100.000 dollars au titre de « conseillère spéciale »?

Ah! Fillon...Et ses émules

 

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