
C’est le genre de nouvelle qui ne fait pas bon effet et qui rappelle surtout un cas précédent : celui de Volkswagen. Un rapprochement d’autant plus évident que ce sont les mêmes effets d’une cause identique qui amènent le groupe Fiat Chrysler à avoir affaire à la redoutable justice américaine : celle d’un soupçon de manipulation des moteurs diesels de la gamme italo-américain en vue de les rendre plus vertueux qu’ils ne le sont en réalité au regard des normes antipollution.