
Je vous ai déjà parlé d’Arnaud Peyroles, pilote d’une Corvette en GT FFSA. Ce soir, j’ai choisi de le mettre de nouveau à l’honneur.
Je vous ai déjà parlé d’Arnaud Peyroles, pilote d’une Corvette en GT FFSA. Ce soir, j’ai choisi de le mettre de nouveau à l’honneur.
Le 13 juin dernier, du petit matin jusqu’au début d’après-midi, Peugeot allait boire le calice jusqu’à la lie lors d’une édition des 24 Heures du Mans mémorable qui vit Audi triompher.
Pour la quatrième manche de la saison de Superleague Formula, les concurrents avaient rendez-vous en Espagne, sur le circuit de Jarama. Les pilotes et clubs français y ont enregistré des résultats contrastés.
Revenons sur quelques prestations (tant d’équipes que de pilotes) passées entre les mailles du filet de notre couverture des 24 Heures du Mans.
Une panne m’a empêché de finir de couvrir en direct cette passionnante 78è édition des 24 Heures du Mans.
A 0h12, une image de Pescarolo Judd en perdition apparaît sur les écrans. En fait, la n°24 vient de heurter la Ford GT n°60 qui était en tête de sa catégorie LMGT1.
François Sicard, team manager, déclarait à l’instant que la Pescarolo Judd n°24 du OAK Racing tournait « comme une horloge ».
Après Philippe Leloup chez Oreca, passons au OAK Racing, avec son homologue, François Sicard.
Il est 13h pile. Philippe Leloup, team manager d’Oreca, est disponible jusqu’à 13h10. Hop, c’est parti.
En plus de suivre la course des deux Pescarolo-Judd de l’écurie OAK Racing, nous aurons un œil intéressé tout le week-end sur l’écurie Oreca, laquelle engage à la fois une Peugeot 908 HDi FAP (n°4) et son propre proto, baptisé Oreca 01
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