Routes mal éclairées, feux déréglés, vue peu contrôlée... le constat est sans appel : un automobiliste sur deux se sent inconfortable visuellement quand il conduit de nuit. Jusqu'à la fin du mois, la Prévention Routière vous invite donc
Ne jamais être pris en faute sur la route lorsque l'on est un gros rouleur - ou tout simplement tête en l'air -, ce n'est pas toujours simple ! Au final, le risque de se retrouver sans permis n'est pas si faible. En sachant bien gérer ses points, il n'est pourtant pas impossible d'éviter de se le faire annuler. Voici les recommandations et les conseils de Maître Caroline Tichit.
Bien souvent, quand on est convoqué au commissariat, c'est parce que l'on a été verbalisé « au vol », autrement dit on a été verbalisé, mais sans avoir été arrêté. Les agents verbalisateurs convoquent alors le propriétaire du véhicule dans l'espoir qu'ils passent aux aveux. Voici la conduite à tenir en pareil cas.
A Desvres, une petite fille de 8 ans est décédée lundi, fauchée par un conducteur de 83 ans. Faut-il mettre en place un examen médical obligatoire à partir d'un certain âge ? Une nouvelle fois, le débat est lancé.
Dans l'Aveyron, 15 personnes ont été entendues mardi devant le tribunal correctionnel pour une page Facebook indiquant – entre autres - les lieux de contrôle radars des forces de l'ordre. Le procès est inédit.
Le procédé surprend souvent et met généralement mal à l'aise. C'est sûr qu'être destinataire d'une convocation au commissariat, sans précision sur les motifs d'une telle audition par les agents des forces de l'ordre, c'est loin d'être rassurant ! Voici ainsi les premiers conseils à suivre lorsqu'on "écope" d'une telle invitation.
Dans un petit village de la Sarthe, les automobilistes s'interrogent sur la mise en place d'un carrefour à quatre stops : « Mais à qui revient la priorité ?!! »
La Cour de Cassation vient de rendre une jurisprudence majeure pour la portée des radars automatiques. La plus haute juridiction de l'ordre judiciaire français vient en effet de confirmer que la présomption de culpabilité du propriétaire d'un véhicule flashé était une présomption simple. Une attestation de son conjoint certifiant qu'il n'était pas au volant au moment des faits doit donc suffire à le disculper. Résultat : les propriétaires qui clament leur innocence peuvent non seulement échapper au retrait de point(s), mais aussi à la fameuse amende du "propriétaire-payeur" sur la simple présentation d'une telle attestation ! Nul besoin de plusieurs témoignages, encore moins de preuves écrites, cette seule formalité suffit. Autrement dit, pour déjouer le système, rien de plus facile !
Le dernier lot de voitures crash-testées par l'organisme Euro Ncap comportait notamment la nouvelle Renault Twingo qui ne récolte « que » 4 étoiles. Sachez que l'autre nouvelle citadine du moment, la Toyota Aygo ne fait pas mieux que la Twingo ou encore que ses cousines françaises Citroën C1 et Peugeot 108.
Dans la terrible famille des conduites addictives, il est un rejeton qui prend de plus en plus de place. Et qui se fait de plus en plus défavorablement remarquer. L'alcool au volant, on connaît, mais l'usage de produits stupéfiants devient de moins en moins une exception. Le problème, c'est que pour dépister ces substances, il faut passer sous les fourches caudines de contrôles complexes et onéreux. Une conjoncture que le délégué interministériel à la sécurité routière a promis de changer.
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