Tout juste un an après avoir été remplacé par l’Aroma, le Desbi revient en force au sein de la gamme de scooters Daelim. Au programme, des codes esthétiques fortement inspirés des machines italiennes et’une motorisation homologuée Euro4 revendiquant un léger de gain de puissance par rapport à l’Aroma. Le millésime 2017 du Besbi est d’ores et déjà disponible dans les concessions au tarif de 2295 €.
Il y avait un moment que Kawasaki n’avait pas proposé de néo rétro. Plutôt que de repartir sur une W, la firme japonaise saute le X et passe directement à Z. Histoire de venir concurrencer la BMW R NineT, voici venir la Z900 RS. Un nouveau modèle évocateur, une nouvelle lignée, bien au-delà des XSR de Yamaha. Si l’espoir fait vivre, il semblerait bien que le souvenir aussi. Démonstration.
Ce n’est pas une moto que vous croiserez encore sur nos routes, mais c’est un défi technologique qui bouscule bien des idées reçues. Du genre qu’il n’est pas besoin d’avoir un gros moteur pour atteindre des 240 km/h où alors que le moteur deux temps peut très bien s’accommoder des normes Euro4. Voici la Vins Duecinquanta qui vient de Maranello, nom connu et associé à Ferrari. Normal, ce sont cinq ingénieurs venus du blason au cheval cabré qui l’ont créée !
Comme pour les millésimes précédents Yamaha procède à un système de réservation en ligne pour sa Superbike en série limitée. Ouverture des réservations pour la R1M version 2018.
La quatrième édition de Classic Machines se déroulera cet été sur le circuit Carole. Les motos de 1920 à 1991 se donnent rendez-vous les 14 et 15 juillet 2018.
Voici un document officiel, un brevet posé par Kawasaki et qui montre un Ninja sur lequel on s’apprête à greffer un groupe propulseur… électrique. Des batteries à la place des pistons et une faisabilité industrielle assumée puisque l’astuce veut que le cadre s’ouvre du côté gauche pour sortir le thermique et accueillir la grosse batterie. Bien sûr, ce n’est pas pour demain, mais comme c’est dans l’air du temps, il faudra rester brancher sur le projet…
Lors du dernier Salon de Milan, la marque KTM avait révélé une vitaminée 790 Duke faisant le lien entre a 690 d’entrée de clan parmi les plus de 500 cm3 et les machines cubant le litre de cylindrée. Au passage, les Autrichiens montraient une Adventure aussi déclinée avec la même mécanique en guise de concept. En fait, une mise en bouche, puisque le modèle définitif roule déjà en test.
Elle est incontournable dans le segment des sportives. Même bousculée par la concurrence, elle reste une référence historique, celle par qui la gamme sportive s’est partout, ensuite, affirmée. Il s’agit de la GSX-R 1000 de Suzuki qui, en 2018, fer en plus son retour dans le championnat Superbike. De quoi faire encore parler d’elle. Dans la rue, on se retournera aussi pour l’admirer, surtout avec ses nouvelles peintures de guerre.
La marque Norton est revenue sur le marché mais avec une machine statutaire au prix dissuasif, la confidentialité reste de mise sur les routes. Une discrétion qui pourrait disparaître depuis qu’à côté du V4 le blason anglais a mis au point un bicylindre de 650 cm3 L’ouverture de Norton au chinois Zhongshen pour le moteur et à l’Inde pour la production commence à porter concrètement ses fruits. Un Scrambler à deux vocations et une sportive vitaminée par un compresseur sont ainsi en approche…
Fondée en 2011 par deux associés, la marque Eccity Motocycles commercialise depuis 2013 une gamme de scooters électriques baptisés Artelec. Le catalogue propose deux véhicules équivalents 125 (Artelec 670 et 870) ainsi qu'une machine équivalent 50 cm3 (Artelec 470). L'entreprise française jouit d'une usine localisée à Grasse dans le sud de la France et dotée d'une ligne d'assemblage. À l’heure où tous les constructeurs parlent d’électrification de leur gamme, Eccity a décidé de toiletter la sienne et même présenter un alléchant prototype à trois roues. Manière de rappeler qu’avoir raison avant tout le monde n’est pas forcément un handicap.
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