Entièrement tourné en caméra suggestive à la GoPro, ce film russo-américain est une drôle d'expérience cinématographique qui permet de se glisser dans la peau du héros. les cascades et les courses-poursuites s'enchaînent pendant 1 h 40, mais attention au palpitant. D'ailleurs ce long-métrage, lors de sa sortie en salle en 2016, était interdit aux moins de 16 ans.
Parmi les scènes sophistiquées signées Jean-Jacques Beineix, nous avons retenu les apparitions de la Ferrari 250 GT Spyder California.
La voiture à pédales est de retour mais cette fois-ci équipée d’une assistance électrique. La société Podbike lance le Frikar, un vélomobile homologué, capable de rouler jusqu’à 25 km/h et vendu 6 249 €.
Pour mesurer la puissance de l’œuvre de Diuego Rivera, il faut traverser l’Atlantique, direction Mexico et Detroit.
Il fut un temps, très éloignée, bien avant les réseaux sociaux et les scandales, où Renault jouait un rôle dans l’art contemporain.
De la route perdue de Californie ou James Dean a trouvé la mort, à la corniche ou a succombé Grace Kelly, en passant par les rues de Dallas fatales à JFK, le photographe Christophe Rihet a arpenté l'Europe et les États-Unis pour immortaliser ces lieux longtemps après les drames. Il naît une curieuse sensation de ces images apaisées.
Depuis Cars, les dessins animés pour enfants mettant en scène des voitures à figure humaine sont nombreux. Mais celle-ci, d'origine sud-coréenne et destinée aux 3 - 5 ans, met l'accent sur la sécurité routière et la cohabitation entre les humains et les autos.
Lorsque deux monstres du cinéma populaire français discutent de leur dernier film tourné ensemble, on les écoute. Et lorsque, dans la même conversation, ils parlent automobile, on prête l'oreille plus attentivement encore. Nous sommes en 1965, et Bourvil et de Funès évoquent le long-métrage de Gérard Oury qu'ils viennent d'achever, mais aussi quelques histoires de voitures, vraies ou pas.
Picasso dans sa vie quotidienne, au fil d’images captées sur le vif. C’est ce que présente le Musée Picasso en ce moment. Nous y ajoutons notre grain de sel.
Il est passé de mode, au profit du covoiturage payant. Mais l'auto-stop, outre sa gratuité avait un avantage que l'on ne goûte plus guère aujourd'hui : l'incertitude. Celle qui permettait d'être sûr de son heure de départ, mais pas forcément de son horaire d'arrivée. Un historien et un écrivain se sont penchés sur cette pratique, aujourd'hui désuète.
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