En direct du CES de Las Vegas. Au CES 2025, BMW dévoile l’intérieur de ses futures voitures électriques de la génération basée sur la nouvelle architecture « Neue Klasse ». Avec plus d’écrans, plus de logiciel, plus de fonctions mais finalement rien de si original que ça dans cette ère où tous les constructeurs automobiles se mettent aux « véhicules définis par le logiciel ».
La nouvelle citadine grand public de Fiat, qui espère battre la Renault 5 dans sa version électrique, devrait utiliser un vrai moteur italien dans sa déclinaison thermique. Mais pas chez nous où elle aura droit au « fameux » bloc essence PureTech récemment renommé.
Le premier véhicule électrique d’Audi conçu exclusivement pour plaire à la clientèle chinoise (et sur la base de technologies de marques chinoises) sera lancé cette année. Il roule déjà.
Le petit SUV urbain d’Alfa Romeo va passer au 4x4. Mais n’attendez pas une transmission intégrale conventionnelle, celle de l’Italien reprendra la technologie singulière du Jeep Avenger 4xe.
Dans sa version « REEV », le SUV électrique chinois commercialisé en Europe par Stellantis disposera d’un moteur thermique additionnel pour faire grimper son autonomie maximale à près de 1 000 kilomètres. Un bon moyen pour compenser les défauts intrinsèques de la version actuelle ou une totale hérésie ?
Afin de proposer des modèles moins chers que la concurrence, Citroën pourrait utiliser l’architecture « Smart Car » de sa récente citadine C3 pour la remplaçante de la C4, rivale des Peugeot 308 et autres Volkswagen Golf.
Le nouveau haut de gamme de la marque italienne récemment ressuscitée par Stellantis va finalement renoncer à son ambition de se débarrasser à court terme de ses motorisations thermiques. Comme sans doute les autres marques « premium » du groupe, d’ailleurs.
Comme la Volkswagen Polo et très probablement tous les futurs modèles citadins thermiques du groupe allemand, les Seat Ibiza et Arona (re)restylés vont passer à une hybridation légère.
La nouvelle Fiat 500 Ibrida arrivera à la fin de l’année prochaine et permettra à la petite Italienne de reprendre du poil de la bête. Sa version électrique sera améliorée au même moment.
Alors que l’Alpine A110 thermique actuelle va poursuivre sa carrière jusqu’en 2026, sa remplaçante électrique sera « plus légère que ses concurrentes à essence ». C’est ce que promet le patron de Renault Luca de Meo. Peut-on lui faire confiance ?
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