Le mois dernier, pour la première fois depuis mars, le marché français du véhicule d’entreprise est sorti de la zone rouge, avec quelque 9 % de hausse par rapport à septembre 2019. Une dynamique positive qui reste néanmoins fragile, la véritable reprise des ventes dépendant avant tout du contexte sanitaire à venir.
On aurait pu croire, au vu des contraintes sanitaires liées à la distanciation sociale, à une désaffection profonde du covoiturage et de l’autopartage d’entreprise suite à la première vague de Covid-19. Or, la reprise aurait montré au contraire un engouement réitéré voire plus fort pour ces solutions de mobilité alternatives.
Comment les grandes flottes privées et publiques ont-elles vécu le confinement et comment adaptent-elles leur stratégie au contexte ? Illustration à travers deux témoignages. D’un côté, Hichem Bardi, Directeur Fleet & Logistique d’ENGIE Solutions. De l’autre, Vanessa Rousseau, Cheffe du parc matériel de Caen la mer. Ils se confient sur la façon dont leurs véhicules professionnels ont été gérés durant le confinement et depuis la reprise.
Depuis la levée du confinement lié à l’épidémie de Covid-19, les Français sont nombreux à délaisser, du moins temporairement, les transports en commun mais aussi l’autopartage et le covoiturage pour leur retour au travail. Au profit notamment des trajets à vélo, qui connaissent un engouement assez inédit. Coup d’œil sur le phénomène et sur ses avantages, selon le mode de détention choisi.
Le début 2020, avec pour toile de fond la crise sanitaire liée au Covid-19, semble avoir donné bien involontairement un coup de projecteur mondial sur la conduite sans chauffeur. De la Chine aux États-Unis en passant par la France, nous vous proposons un tour d’horizon de quelques-unes des initiatives actuellement menées sur le champ du véhicule autonome, aussi bien au service de collectivités et d’établissements publics que d’entreprises.
Tous les véhicules électriques commandés en 2019 profitaient du bonus de 6 000 € s'ils étaient livrés avant le 31 mars 2020. Le gouvernement a pris en compte le contexte actuel, reportant ce délai à juin.
Depuis trois ans, les entreprises ont l’obligation de désigner l’identité des collaborateurs ayant commis des infractions au volant de véhicules appartenant à la société. Une démarche que plusieurs spécialistes du logiciel pour flottes se proposent aujourd’hui d’accompagner à travers des services en ligne dédiés et sur-mesure.
Si les entreprises en quête d’utilitaires légers accordent encore une confiance écrasante aux motorisations thermiques, au diesel en particulier, l’année 2020 pourrait bien amorcer un vrai changement des habitudes grâce à une offre de modèles 100 % électriques beaucoup plus large. Coup de projecteur sur l’état actuel du segment et sur les nouveaux fourgons attendus dans les mois à venir.
2019 a constitué la quatrième année consécutive de hausse sur le marché du véhicule d’entreprise, avec notamment 543 858 voitures particulières vendues aux professionnels, soit une croissance de 14,2 % par rapport à 2018. Voici les modèles qui ont séduit le plus les loueurs, les sociétés et les administrations au cours des douze derniers mois.
Création de directions et de points d’accueil dédiés au marché professionnel, constitution d’équipes de terrain pour devancer les attentes des clients en termes de modèles, solutions de financement et conseils sur la gestion de flotte au sens large : autant d’éléments qui incarnent la stratégie actuelle des constructeurs à destination des entreprises, en particulier sur le segment des voitures de fonction. Voici quelques exemples illustrant cette démarche.
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