Le nouveau patron d'Alfa Romeo Jean-Philippe Imparato veut enterrer les clichés sur la fiabilité italienne, augmenter la profitabilité de la marque avec un vaste plan produit et même vendre une nouvelle sportive d'exception. Il nous a expliqué tout ça à l'occasion de l'essai du Tonale hybride rechargeable.
Après seulement deux années passées à la tête de Jaguar-Land Rover, le Français Thierry Bolloré vient de démissionner.
Si le prix des véhicules neufs continue son inflation, c’est également le cas pour le tarif des voitures d’occasions. Avec moins de véhicules en vente sur le marché de l’occasion, les prix s’envolent.
La baromètre publié par le JDD montre toujours un bel attachement des Français à la marque au lion, tandis que Renault et Citroën remontent: qui a dit que les Français n'aimaient plus l'automobile?
Lors de son "capital market day" de mardi dernier, Luca De Meo a sorti de sa poche son atout premium : la petite marque Alpine, à qui il prédit des lendemains qui chantent, et un futur béni de marges sonnantes et trébuchantes. Un atout maître ou un coup de bluff ?
Le vaste plan de réorganisation de Renault peine pour le moment à séduire les analystes, qui redoutent sa complexité.
Alors que la maison mère de Volvo vient de nouer un grand partenariat avec Renault, le constructeur suédois annonce qu'il ne veut pas contribuer au développement de ses moteurs thermiques. Il veut se concentrer exclusivement sur l'électrique.
Direct - Renault fait sa "Révolution", se divise et s'allie avec les Chinois de Geely
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C'est officiel : Renault va se diviser en deux entités, Ampère pour les voitures électriques et Power pour les véhicules thermiques et hybrides. Cette dernière entité sera partagée à 50-50 avec les Chinois de Geely. Après la "Renaulution", voici la "Révolution". le directeur général Luca de Meo la détaille en direct dans sa conférence de presse "Capital Market Day".
La Renaulution, la vraie, aura lieu demain 8 novembre. Au soir de ce « capital market day », on saura si Luca de Meo a réussi son pari : sauver la maison Renault, pas moins, en la divisant par deux. Le prix à payer pour que le losange survive dans la grande bourrasque qui risque de faire sombrer nombre de navires de l’automobile. Le prix à payer aussi pour vivre sans l’Alliance Renault Nissan qui, à l’issue de ces prochaines journées lourdes de conséquences ne pourrait plus être qu’un simple échange d’actions minimalistes comme il y en a tant.
Dans un concert politique européen à peu près unanime pour saluer l'échéance de 2035 et la bascule vers le tout électrique, le discours du commissaire européen détonne. Il demande aux constructeurs de ne pas abandonner totalement le thermique et compte sur la clause de revoyure en 2026 pour, peut-être, freiner le mouvement. Vraie volonté de changement ou gesticulation ?
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