Stellantis ne veut pas racheter Renault
Quelques jours après la petite phrase du directeur général de Stellantis Carlos Tavares, son président John Elkann précise qu'il n'est pas question de racheter Renault.
Cette petite phrase a fait grand bruit la semaine dernière. Alors qu’il donnait une interview aux journalistes de Bloomberg, le directeur général du groupe Stellantis Carlos Tavares laissait entendre qu’il était partant pour « tout type de consolidation » en évoquant la possibilité de nouer de nouvelles alliances avec d’autres constructeurs.
La piste d’un possible rachat du groupe Renault, qui traverse actuellement une mauvaise passe avec l’annulation de l’entrée en bourse de sa filiale Ampère et une action qui n’en finit plus de dégringoler, a alors été évoquée. Mais elle vient d’être balayée par John Elkann, le président de Stellantis (qui dirige aussi Ferrari). D’après les journalistes de Reuters, il nie tout projet d’élargissement du groupe : « il n’y a actuellement aucun plan pour fusionner Stellantis avec d’autres constructeurs », précise-t-il.
Stellantis fait bonne figure face aux autres
Il faut dire qu’à côté des 10 milliards d’euros de capitalisation boursière de Renault, les 67 milliards de dollars du groupe Stellantis impressionnent davantage. Le troisième plus gros groupe automobile du monde devance les Allemands de Volkswagen à ce niveau qui se situe à environ 64 milliards d’euros de capitalisation boursière. Pour l’instant en tout cas, Stellantis restera à 14 marques.
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