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Selon une étude, 76% des actifs utilisent leur voiture pour se rendre sur leur lieu de travail, soit 4% de plus que l’an dernier. La crise sanitaire est passée par là.

L'acteur américain Vin Diesel, star de la saga Fast and Furious, a pour coutume d'être associé à des voitures un peu comme lui : tout en muscles, et qui ne font pas dans la dentelle. Mais ici, le nom "Diesel" est associé à un engin probablement moins lourd que lui : un scooter électrique.

On aurait pu croire, au vu des contraintes sanitaires liées à la distanciation sociale, à une désaffection profonde du covoiturage et de l’autopartage d’entreprise suite à la première vague de Covid-19. Or, la reprise aurait montré au contraire un engouement réitéré voire plus fort pour ces solutions de mobilité alternatives.

Depuis le déconfinement, cyclistes et automobilistes cohabitent en ville dans un climat tendu à la suite d’aménagements précipités de l’espace urbain au profit de pistes cyclables. Le vélo est présenté comme la solution vertueuse tandis que la voiture devient le symbole de l’égoïsme et du mal de ce monde. L’automobile est-elle le cœur du problème ou le bouc émissaire ?

Les publicités pour les véhicules à moteur devront bientôt comporter un message faisant la promotion de moyens de déplacement plus écolos, comme le vélo ou le métro.

Lorsque vous entendez "trottinette électrique", en tant qu’automobiliste, vous pensez certainement à ces jouets pour adultes gâtés, en libre-service, qui pullulent dans les villes, encombrent les trottoirs, parfois les routes, et polluent la planète. Pourtant, elle peut grandement améliorer le quotidien et faire gagner un temps précieux. J’ai franchi le pas il y a 5 ans…

Les offres d’auto-partage proposées dans la capitale croissent et se multiplient. Avec l’apparition de nouvelles marques, différents types de services avec ou sans retour au point de départ obligatoire et des tarifs variés, difficile d’y voir clair. Tour d’horizon des propositions disponibles.

Depuis la levée du confinement lié à l’épidémie de Covid-19, les Français sont nombreux à délaisser, du moins temporairement, les transports en commun mais aussi l’autopartage et le covoiturage pour leur retour au travail. Au profit notamment des trajets à vélo, qui connaissent un engouement assez inédit. Coup d’œil sur le phénomène et sur ses avantages, selon le mode de détention choisi.

Réconcilier cyclistes et automobilistes est une chose difficile mais pas impossible. L’univers du vélo n’est pas inconnu des constructeurs automobiles qui ont, pour beaucoup, littéralement mis la tête dans le guidon…

C'est aujourd'hui que Renault lance finalement son service d'autopartage, baptisé Zity. Le confinement aura repoussé l'événement de deux mois, mais 500 Zoé vous attendent désormais dans les rues de Paris (et Clichy), à des conditions tarifaires assez avantageuses.