Sur le plan des motorisations et pour le lancement, la gamme comporte six unités. Il s'agit de trois moteurs essence (1.4 16V 98 ch, 1.6 16V 115 ch et 2.0 16V 136 ch) et trois diesel à injection Common rail (1.5 dCi 80 ch, 1.5 dCi 100 ch et 1.9 dCi 120 ch). Cet ensemble de motorisations issu tout droit de la berline Mégane (le 1.5 dCi 100 ch devant arriver sur la Mégane prochainement), trouve facilement sa place sous le capot du Scénic, qui reprend la plate-forme de la berline. Pour le futur, un 2 l turbo de 165 ch est prévu en essence et, en diesel, on peut compter sur l'arrivée d'un 1.9 dCi 140 ch dans le courant de l'année prochaine. Ce surcroît de puissance pourrait bien être le bienvenu car avec l'augmentation des équipements, le poids du modèle pourrait avoir grimpé (entre la nouvelle et l'ancienne génération de Mégane, il y a 100 kilos).

Pour les boîtes de vitesses, le nouveau Scénic fait confiance à des transmissions manuelles à cinq rapports pour les 1.4 16 V, 1.6 16V et 1.5 dCi, le 2 l essence et le 1,9 l diesel recevant pour leur part des boîtes six vitesses. Il sera également possible de demander une transmission automatique, la boîte auto à commande impulsionnelle équipant les 1.6 16V et 2.0 16V essence. Si les motorisations proviennent de la berline, il en est de même pour la plate-forme et des trains roulants. Ceux-ci ont, bien entendu, été optimisés pour cadrer au plus près avec les spécificités du modèle, plus long et plus haut que la berline.

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