Rubens Barrichello, qui n'est encore certain de rien quant à son avenir en Formule 1, avait récemment déclaré que l'on ne savait pas tout de sa période Ferrari aux côtés de l'ogre Schumacher, et qu'il se chargerait sans doute un jour d'éclairer notre faible lanterne sur cet item.
Certes, avoir accumulé neuf succès en six saisons de 2000 en 2005 dans un écurie Ferrari où la voiture d'à côté a collectionné, durant la même période, les titres mondiaux et quarante neuf victoires, mérite peut être une explication de la part de la plus modeste des parties.

Le fait est arrivé aux oreilles du retraité teuton depuis devenu motard émérite qui a pris la peine de donner son propre raisonnement sur cette conjoncture. Et il est très simple. Le Brésilien était plus mauvais, point barre: « Personne ne peut être plus lent à cause d'un contrat. Si vous êtes rapide, vous l'êtes tout simplement, et alors vous êtes le numéro un. » C'est simple la vie avec Schumi.
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