Contrôle de stabilité en série.
Naturellement, le XC90 est pourvu d’un contrôle de stabilité en série. Grâce à un capteur gyroscopique qui enregistre la vitesse et l’angle de roulis, le DSTC par l’intermédiaire de la gestion moteur et des freins limite également les risques de tonneau. Ce Roll Stability Control est une première qui conforte l’image de Volvo dans le domaine de la sécurité. Si nous avons mis copieusement à contribution le contrôle de stabilité durant ce double essai (désactivable au niveau de la gestion moteur mais pas des freins : figures libre sur glace ou ailleurs impossibles), nous ne sommes pas allés jusqu’à tester cette fonction anti-retournement. Ou alors, on ne s’est aperçu de rien. Au cas où le conducteur outrepasse les règles de la physique –simplement corrigées par l’électronique, le constructeur insiste sur la structure de toit renforcée capable de résister à plusieurs tonneaux.
En matière de sécurité passive, Volvo est d’ailleurs le premier constructeur à obtenir 5 étoiles pour un off-roader aux tests de collisions d’Euro-NCAP révélés en juin 2003 (qui ne prend pas en compte le cas de retournement…). BMW, vient également d’atteindre ce score avec un X5 légèrement modifié, mais reste derrière le suédois en ce qui concerne les lésions occasionnées à un piéton.Si l’équipement sécuritaire fait carton plein, les deux versions Summum et Xenium ne sont pas mal non plus dans les autres domaines. La finition d’accès Optimum se prive du cuir ou des réglages de sièges électriques mais pas de l’essentiel comme la climatisation, particulièrement efficace. Cette version proposée un peu moins cher en essence ou en diesel que chez les concurrents peut gonfler sa dotation de tous les accessoires des deux autres et de toutes leurs options. Le choix à la carte.
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