Et les transformations sont profondes. La façade avant adopte les codes stylistiques des petites sœurs, avec un bouclier, une calandre qui met en valeur le logo de la marque, et des feux modernisés, qui adoptent les LED pour les feux diurnes. Les rétroviseurs sont aussi plus petits.
Dans l'habitacle, l'ambiance évolue grâce à une nouvelle finition noire satinée. Le cuir s'invite sur l'accoudoir, le volant mais aussi les contre-portes tandis que du plastique moussé fait son apparition sur la boîte à gant. Toyota proposera aussi de nouvelles selleries tissus disponibles en fonction des niveaux de finition.

Sous le capot, on retrouve le 2.0 D-4D de 126 chevaux qui affiche des émissions de CO2 inférieures à 130 g/km. Le 2.2 de 150 chevaux et le 1.6 essence de 132 chevaux font eux toujours partie de l'offre. Notons également que ce nouveau Verso marque l'arrivée de trois nouveaux coloris : blanc nacré et deux teintes de bleu.
L'instant Caradisiac : cela va-t-il suffire ?
Certes le lifting est conséquent, mais le Verso est en perte de vitesse face à une concurrence féroce. Zafira Tourer, Kia Carens qui arrive, Scénic restylé. Rien ne dit que ce remodelage permettra de le relancer. Comme entendu sur le stand : "oui, c'est mieux, mais ça casse pas trois pattes à un canard" (un confrère se reconnaîtra).

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