Tout comme il est possible de négocier le prix d'une voiture neuve, il est également aujourd'hui courant de négocier le prix d'un véhicule de seconde main. D'une part parce que le vendeur, professionnel comme particulier, a pris l'habitude de se garder une petite marge de négociation, et d'autre part parce qu'il n'est pas forcément conscient (et souvent en toute bonne foi) que son véhicule nécessiterait quelques retouches ou remplacement de pièces. Ou bien encore qu'il sous-évalue ces coûts de remise en état. Enfin, il peut attribuer une valeur sentimentale indue à son auto, ignorer une mauvaise réputation de fiabilité ou un désamour fatal pour le modèle, synonyme de décote. Cela vaut plus pour un particulier que pour un professionnel, on vous l'accorde...
Pour vous acheteur, tout sera donc prétexte à "dévaloriser". Et sans aller chercher non plus la petite bête, chaque défaut ou manquement sera utilisable pour faire baisser les prétentions du vendeur. Vous pouvez d'ailleurs vous faire assister, si vous n'y connaissez rien, par une connaissance plus pointue en terme de mécanique, ou bien, et c'est à la mode, par un expert. Nous y reviendrons.
Nous allons donc aborder 3 grands chapitres, à brosser lorsque l'on achète une voiture d'occasion : l'aspect esthétique, l'entretien et les réparations réalisés (ou non, c'est d'ailleurs là qu'il faut creuser), et tout ce qui touche à la cote et à son ajustement précis. Avec nos conseils, il est parfois facile de faire baisser de 10 à 20 % un prix.
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