La Leon est une cousine proche de la Volkswagen Golf. Elle lui emprunte sa base technique (plateforme, moteurs, trains roulants), mais Seat a choisi de lui donner, comme pour tous ses modèles, une orientation un peu plus sportive que confortable.
La Peugeot 308 a toujours été une des compactes les plus affûtées du marché. La seconde génération, arrivée il y a maintenant trois ans dans les showrooms de la marque, fait mieux que la précédente sur tous les plans.
La Ford Focus fait partie des best-seller depuis sa sortie. Pas en France, mais en tout cas en Europe. Sa troisième génération, arrivée début 2011, se voulait être une voiture mondiale, sans différences de style, par exemple, entre les USA et l'Europe, comme c'était le cas pour les précédentes générations.
La Mégane 3 succède à la deuxième génération, qui aura pâti d'une fiabilité pour le moins aléatoire pendant de longues années, et dont le style disons... novateur ne l'aidait pas niveau pratique. Avec cette génération, qui est en passe d'être remplacée, Renault devait faire mieux sur tous les plans. Esthétiquement le style s'est assagi et permet au passage d'améliorer le volume de coffre (finis la lunette verticale et le hayon "cassé"). Et en termes de fiabilité, même si cette génération n'est pas blanche comme neige loin de là, globalement il y a du mieux. Heureusement. La Mégane 3 sera aussi déclinée en version sportive R.S., en break Estate, en coupé, en CC, servira de base au Scénic et Grand Scénic 3, on a donc une gamme complète. La qualité de présentation et de finition a progressé, même si l'ambiance reste assez (trop ?) sérieuse. Le confort est en régression, sans aller jusqu'au point de devenir trop ferme. Mais c'est au bénéfice de la tenue de route, qui en devient ludique, amusante et dynamique. La direction à assistance électrique est également en progrès, elle qui faisait l'objet de beaucoup de critiques sur le deuxième opus. Les prix en occasion sont abordables, ce qui rend cette Mégane 3 intéressante, si l'on s'est assuré que les soucis potentiels sont absents ou résolus.
Deuxième modèle de la "griffe" premium de Citroën, la DS4 a rejoint la DS3 en mai 2011. Élaborée sur la base de la C4, elle est cependant grandement modifiée. Trains roulants, réglages de châssis sont spécifiques et orientés "sport". La carrosserie est également entièrement revue, pour en faire un coupé 5 portes légèrement surélevé. Les chromes sont bien présents, les feux à LED lui donnent une identité reconnaissable. Poignées de porte arrière cachées dans l'encadrement, vitres fixes, à l'arrière toujours, concourent à lui donner effectivement un air de coupé. Dans l'habitacle par contre, à l'instar de la DS3 qui reprend la planche de bord de la C3, la DS4 arbore celle de la C4 sans modification. Elle est agréable et présente bien mais manque d'exclusivité tout de même. Mécaniquement, cette compacte reprend les motorisations les plus puissantes de la C4, et y ajoute quelques exclusivités cette fois-ci, avec par exemple le 1.6 THP 200. La fiabilité est à surveiller, aussi bien en VTI et THP qu'en diesel HDI. Normalement les soucis se font tout de même plus rares depuis 2014.
Comme toutes les Toyota, l'Auris bénéficie d'une réputation de fiabilité exceptionnelle. Mais il est désormais accepté (aussi) que les Toyota, ou du moins certaines motorisations pour certains modèles, ne sont pas aussi "propres sur elles" que l’on pourrait l’imaginer. Mais la compacte Auris de première génération, elle rentre dans quelle catégorie ? Celle des meilleures ou celle des "à surveiller" ? C’est ce que nous allons voir dans cette fiche. Par ailleurs, cette compacte, concurrente des Peugeot 308, Citroën C4, Renault Mégane et autre Volkswagen Golf ou Ford Focus, n’a pas fait une carrière flamboyante en France, et c’est un euphémisme… La faute à un style trop fade, à l’intérieur comme à l’extérieur. Un manque de personnalité que ses qualités intrinsèques, confort, équipement, homogénéité, n’ont pu récupérer. À noter, la présence dans la gamme d’une bonne version hybride, qui utilise le même système que la Prius. En occasion, elle représente en tout cas une bonne affaire, car peu demandée et donc pas trop chère, pour une Toyota.
L'actuelle génération de C4 est la deuxième de l'ère "moderne". La compacte aux chevrons, tenant compte des critiques reçues concernant la première génération, s'est faite plus confortable et plus habitable. Sur ces plans, c'est une réussite. Le terme de tapis volant lui convient bien, elle est même trop souple pour certains. Et son volume de coffre est parmi les meilleurs. L'habitabilité arrière reste moyenne toutefois. La finition est également saluée, tout du moins au niveau de la qualité des matériaux, un peu moins pour l'assemblage. La gamme de motorisations est suffisante, allant de 90 à 156 ch, pour que chacun y trouve son compte, et la C4 n'est pas trop gourmande. La fiabilité n'est pas parfaite, mais globalement, les soucis sont plus agaçants que réellement graves, et les graves ne sont pas "trop" récurrents. À surveiller tout de même. En occasion, les tarifs sont abordables, plus que pour sa cousine la Peugeot 308 en tout cas. Une compacte à recommander donc pour qui cherche du confort et du volume de coffre à prix serré.
La Honda Civic est devenue avec le temps presque une icône. La première génération, sortie en 1972 (oui, 42 ans déjà !) puis les suivantes ont contribué au mythe. Une petite voiture fiable, économique et pas manchote sur la route ! Nous allons évoquer ici la huitième génération, apparue en 2006, et qui ne se trouve plus aujourd'hui qu'en occasion, puisqu'elle a été remplacée en 2012 par la Civic 9. Succédant à une très pâle septième génération, qui a beaucoup déçu, elle renoue avec un style affûté, futuriste, qui ne laisse pas indifférent. Elle se dote de motorisations essence entre 83 et 201 ch (Type R) et d'un tout nouveau diesel 2.2 développé en interne, brillant. Elle a réussi à se recréer une communauté de fans, et conserve aussi une réputation de fiabilité à toute épreuve. Cette dernière, si elle reste vraie pour les versions essence, est mise à mal par quelques gros soucis sur le diesel. Heureusement, la marque assume bien les défauts, du moins dans la majorité des cas. Un achat en occasion est donc tout à fait recommandable.
Si la marque Kia est aujourd'hui connue, c'est surtout grâce à sa garantie 7 ans. Un plus en termes d'image et d'assurance qualité, que la marque met grandement en avant. Et la Cee'd de première génération fut la première, en France, à bénéficier de cette garantie longue durée. C'est cette auto que nous allons ici radiographier. Aujourd'hui remplacée par la seconde génération, cette compacte faisait à l'époque de la concurrence à la VW Golf 5 puis 6, à la Peugeot 307 puis 308, à la Citroën C4 et autres Renault Mégane 2 et 3. La Cee'd est une voiture sérieuse, bien construite, homogène, qui a étonné à sa sortie par ses qualités. Sa version break SW, logeable, a fait le bonheur de quelques taxis par exemple. Et un coupé, baptisé Pro_cee'd et plus dynamique, a visé une clientèle plus jeune, sans grand succès malheureusement. Niveau fiabilité, la Cee'd est très bien placée, avec quelques pannes mais jamais rien de grave, et la garantie 7 ans n'est de toute façon même pas terminée (ou tout juste) pour les premiers modèles vendus. Rassurant, aussi pour les futurs acquéreurs.
La Logan, première représentante de la marque Dacia en France, fut à sa sortie une véritable révélation. Cette voiture "low-cost" (à bas coût), prévue initialement pour l'Europe de l'Est seulement, mais finalement importée en Europe occidentale, s'est de suite vendue comme des petits pains.
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