
Voilà qui tombe mal pour un monde des Grands Prix qui avaient mis sur pied un championnat politiquement correct à l’heure où le marché se branche sur le concept de l’électrification des gammes. Il s’agissait d’un MotoE, avec une machine unique d’origine italienne qu’il a fallu un certain temps pour construire en nombre suffisant. Après quelques galops d’essai et des tours pour la parade, ce nouveau championnat entamait ses premiers officiels de l’année à Jerez. Et il a été tout feu tout flamme. Au sens propre !