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Le pilote du Team Estrella Galicia 0,0 Marc VDS Franco Morbidelli a été aujourd’hui couronné sur le circuit de Sepang, en Malaisie, champion du monde Moto2. Et c'est un protégé de Valentino Rossi !
Le pilote du Team Estrella Galicia 0,0 Marc VDS Franco Morbidelli a été aujourd’hui couronné sur le circuit de Sepang, en Malaisie, champion du monde Moto2. Et c'est un protégé de Valentino Rossi !
On aurait pu croire que le coup reçu à Phillip Island l’avait mis à terre. Mais c’est mal connaître un Dovizisoso qui ne lâche décidément jamais rien. En Malaisie, il a rebondi en décrochant sa sixième victoire de l’année sur une piste humide. Devant un Lorenzo qui ne lui a pas fait de cadeau tandis que Zarco monte sur un podium qu’aurait bien voulu Márquez. Ce dernier compte maintenant 21 points d’avance sur l’officiel Ducati. Et une victoire, c’est 25 points !
Pour être Champion du Monde dès ce week-end, il faudrait à Marc Márquez une seconde place au terme de ce Grand Prix de Malaisie. Pas de quoi prendre des risques inconsidérés. Et pourtant, l’officiel Honda s’est offert un sauvetage miracle lors de la FP4 avant de chuter dans la Q.2. Chassez le naturel… Le voilà septième sur la grille de départ.
Andrea Dovizioso avait bien cru réaliser le plus difficile en passant le drapeau à damiers des qualifications du Grand Prix de Malaisie. En pole position pendant quelques secondes, il a dû ensuite se résigner à la troisième place après les passages de Johann Zarco et de Dani Pedrosa. Mais avec un Marc Márquez septième, l’officiel Ducati garde ses chances au championnat en vie. Elles prendront ensuite plus de vigueur si une victoire est signée ce dimanche.
C’est à la dix-septième place que le Français Loris Baz s’élancera pour son Grand Prix de Malaisie. Le tricolore a tout tenté pour intégrer la Q.2, jusqu’à la chute dans la Q.1. Dimanche, il tentera de ramener quelques points au terme de la course. Par ailleurs, on apprenait que ses contacts pour un projet Superbike avec MV Agusta avait du plomb dans l’aile puisque c’est Jordi Torres qui était annoncé au poste pour 2018.
C’est un Dani Pedrosa rassuré et satisfait qui en terminait ave sa journée du samedi en Malaisie. Et pour cause. Après pas mal de déboires et de déconvenues, l’Espagnol de 32 ans retrouvait la pole position. Sa troisième de l’année. Mais pour la course, l’officiel Honda va devoir s préparer à un rude combat entrevu en Australie. Exactement ce qu’il n’aime pas…
Johann Zarco l’avait annoncé en arrivant à Sepang : il serait à prendre très au sérieux dans ce Grand Prix de Malaisie qui suivait celui d’Australie où il avait entrevu la victoire. Un succès qu’il visera clairement ce dimanche pour cette troisième et dernière course en outre-mer. Trois meetings que le pilote Tech3 a chaque fois abordés de la première ligne !
La séance qualificative du Grand Prix de Malaisie a rendu son verdict pour mettre en pole-position une Honda du HRC. Mais pas celle que l’on attendait. En souffrance, hier, vendredi, Dani Pedrosa a magnifiquement redressé la situation ce samedi passé sous un soleil de plomb et une piste portée à pratiquement 50°. L’équipier d’un Márquez seulement septième et qui a chuté lors de la séance a surgi dans les dernières secondes, privant Zarco mais aussi Dovizioso de la position de pointe.
Sur une piste de Sepang qui fait la part belle aux qualités de la Ducati sans mettre en exergue ses défauts, on attendait une belle performance de notre Loris Baz. Qui plus est sous la pluie de l’après-midi. Au lieu de ça, la douche froide a été au menu à cause de difficultés d’adhérence inattendues. Il reste au second Français du plateau MotoGP encore la journée du samedi pour se refaire de cette seizième place.
Pour bien cerner une Ducati, il faut s’appeler Andrea Dovizioso ; Il faut dire qu’il les connaît depuis 2013. À Phillip Island, sa Desmosedici s’est montrée peu à son avantage. Mais une semaine après à Sepang, la voilà dominatrice. Il faut savoir composer et faire avec la belle qui est aussi une bête. DesmoDovi est le surnom du pilote italien et ce n’est pas pour rien. Même si la perspective d’un titre s’est maintenant compliquée, il ne lâchera rien !
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