La moto était jusque-là relativement épargnée par les systèmes électroniques d’assistance à la conduite. Et pour cause : en cas de dysfonctionnement, les conséquences y sont plus graves que pour l’automobile et, en moto, on n’aime pas trop les dispositifs qui castrent l’objet de notre passion. Dont on aime avoir le contrôle. Mais les puces savantes ont fini par rentrer dans les machines et elles s’avèrent suffisamment domptées pour le pas castrer la bête. Pour demain, il y a d’autres inventions qui arrivent. Comme cette démarche de Bosch qui, de prime abord, fait penser à un poisson d’avril…