Les images sont là, Valentino Rossi est devenu le premier pilote titulaire du Moto GP à faire tourner une moto répondant à la réglementation 2012. Dommage néanmoins que ce document nous laisse que très peu l'occasion d'entendre ce nouveau moteur Ducati de 1 000cc qui sera de type « Big Bang ».
Les esprits s'échauffent en Moto GP après un Grand Prix d'Espagne qui semble avoir ouvert la boite de Pandore. A ce rythme là, et vu le microcosme constitué par la petite grille de départ de l'élite, l'ambiance risque d'être tendue dans le paddock de la Dorna cette saison.
On se souvient au Qatar, Louis Rossi manque son départ et se retrouve très attardé au premier tour, il revient chercher le point de la 15ème place alors qu'il était qualifié 11ème. En Espagne, Louis s'est fait remarquer le samedi de la plus belle façon aux qualif, longtemps dans le haut de tableau, il va finir ….
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L'affaire de l'attitude jugée partiale des commissaires de Jerez lorsqu'il s'est agi de porter assistance au duo Casey Stoner – Valentino Rossi tentant de se dépêtrer de l'accrochage provoqué par le dernier cité n'a pas fini de faire des vagues.
A peine le second rendez-vous de la saison consommé que déjà, les esprits sont échauffés. Il faut dire que la pluie s'est largement invitée sur les courses de dimanche dernier et que les cartes ont été sérieusement redistribuées… Après trois jours d'essais sous une tempête de ciel bleu et des températures estivales, c'est une pluie bien présente qui s'est invitée en ce dimanche de course.
Ce Grand Prix d'Espagne à rebondissements marque déjà une étape importante dans les courses aux titres 2011 du paddock de la Dorna. Passe encore sur un Moto 2 où la hiérarchie a le temps de se décanter, tellement le plateau joue serré, mais Andrea Iannone se fait régulier et prend le pouvoir au sortir de la campagne d'Espagne.
L'écho de l'accrochage entre Valentino Rossi et Casey Stoner continue à s'entendre dans le paddock du Moto GP.
Depuis l'arrivée d'un Grand Prix d'Espagne au cours duquel ils ont beaucoup oeuvré, ils sont dans la ligne de mire de certains protagonistes qui ont pourtant eu besoin de leurs services durant cette course de folie.
Huitième tour d'un Grand Prix d'Espagne que la pluie a transformé en bataille rangée pour mieux bouleverser la hiérarchie et donner l'idée aux pilotes de faire le casse de la saison. Marco Simoncelli fait la course de sa vie et Valentino Rossi revient du diable Vauvert aux avant-postes.
Dans ce Grand Prix d'Espagne que la pluie n'a jamais lâché, il fallait se mouiller et savoir nager en eaux troubles pour s'en sortir les cuisses propres. Un art aléatoire qu'il n'est pas aisé de maitriser, sauf pour un champion du monde en titre qui a fait étal de tout son savoir faire pour répondre, avec sa Yamaha, à l'assaut vécu au Qatar de la part des Honda.
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