Le podium en superstock. C'était l'objectif annoncé par Eric Tanésie, team manager du TRT-27. En prenant la 3e place, le contrat est entièrement rempli pour toute l'équipe qui comme toutes, a beaucoup souffert avec les conditions météorologique. En prenant la 9e place au scratch, le bilan des 24 H du TRT-27 est très positif.
Après un début de semaine plein d'espoir pour l'équipe du team 18 des sapeurs pompiers, la course a été beaucoup plus difficile. Victime de 4 chutes après 18 heures de course, Yannick Bureau, le team manager a été contraint de signer l'abandon de la Suzuki rouge. Il revient pour nous sur ces faits de course.
Lors de l'ouverture du championnat du monde d'endurance 2009, le retour de Michelin a fait grand bruit. En effet, après de longues années d'absence, le manufacturier Français est revenu en grande force. Jean-Philippe Weber, responsable de la compétition moto chez Michelin annonce que ''le projet d'un team aux couleurs de Michelin ne s'est décidé que fin janvier''.
Lors des 24 H du Mans, l'Ecole Supérieur du Commerce des Réseaux de l'Automobile (ESCRA) remet chaque année un prix portant son nom à l'intention de l'équipe de mécaniciens qui apporte la meilleure assistance techniques aux concurrents.
En Superstock, la course a été disputé jusqu'au dernier instant pour se terminer avec un écart de 21'' après 24 h de course. C'est finalement la Suzuki n°72 du Junior team qui s'impose. Malgré 2 chutes, elle a réussi à revenir au avant poste pour finalement prendre la tête à 30 minutes de la fin de course.
Cela fait une bonne paire d'année qu'un team étranger n'a pas remporté les 24 H du Mans. Il aura donc fallu attendre le Yart venant d'Autriche. L'équipe roule sur une R1 millésime 2009. Tout au long de la course, elle n'a connu qu'un souci de shifter. Sinon, tout s'est déroulé sans encombre.
Parti en pôle position grâce au chrono venu d'ailleur de Matthieu Lagrive, la Honda 111 managé par Bernard Rigoni termine sur la seconde marche du podium. Une chute en début de course et des problèmes mécaniques (embrayage, carter, boite de vitesse) vont contraindre les 3 pilotes a réalisé de gros chronos.
Après des essais difficiles liés à un développement de la moto tardif, le SERT a toujours été mis en difficulté. Partie de la 6e place et un temps en tête, les 3 pilotes de la Suzuki n°1 ont également perdu la seconde place à quelques heures de la fin de course en raison d'une chute de Veneman au raccordement.
Michaël Pichon participait à sa première course d'endurance. Pour caradisiac, il revient sur sa semaine. Que retiens-tu de ton 1er mans ? C'est vraiment une bonne expérience qui a été un peu écourtée. C'est dommage parce que nous avons eu beaucoup de malchance. Pendant toute la semaine, nous n'avons pas eu un souci.
Sur les 46 équipages engagés cette année, seul 27 ont rallié l'arrivée soit 59 % d'arrivée soit 7 % de moins que l'année passé. Dans des conditions météo difficiles, les chutes ont été nombreuses et la probabilité de casser du matériel était forte.
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