Petit rappel : "Carnets de voyage" est le livre ("Notas de viaje") puis le film (de Walter Salles) retraçant le périple d'Ernesto Guevara et Alberto Granado en 1951. Deux jeunes marseillais, Bruno Bohrer (le pilote et mécano) et Bernard Franchi (SDS : intendance générale et blog perso) de 45 et 51 ans respectivement se sont lancé dans une aventure un peu folle.
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Lorsque l'on est passionné de l'époque où Marlon Brando semait, avec ses coreligionnaires, la terreur dans les contrées qu'il traversait chevauchant sa machine bruyante et dépouillée, mais que l'on a pour tout et pour tout une Triumph Bonneville T 100 dans le garage, on n'est pas orphelin pour autant.
Second exemple d'une démarche qui suinte l'obstination, Kawasaki. Certes, le contexte de cette aventure apparaît comme aux antipodes de ce qu'a voulu faire Yamaha qui est également tout à fait différent de ce qu'ambitionne KTM.
Que des fabricants de moto aient voulu se diversifier dans l'Automobile, cela n'a rien d'exceptionnel en soi, surtout si l'on regarde le succès de BMW et de Honda. Mais en dehors de ces mastodontes, d'autres blasons, beaucoup plus modestes ont tenté cette aventure.
Il s'en est fallu de six mois, mais, historiquement, le premier scooter de grande diffusion, celui qui devait répondre à la demande croissante de déplacements d'une population à peine sortie de la seconde guerre mondiale, n'est pas Italien, mais Japonais.
Par nos temps obnubilés par la recherche de la sécurité à tous prix, du zéro risque absolu, qu'un infantilisant principe de précaution pousse jusqu'au paroxysme, ces images étonnent, effraient ou rassurent, selon que l'on s'attache à accepter la réalité statistique de la démarche citée ou que l'on soit un irréductible du libre arbitre.
Historien en herbe, collectionneur de tout poil ou fanatique du blason, voici une idée de cadeau en ces temps propices à faire fumer sa carte bleue comme d'autres font brûler la gomme. Une inspiration de Kawasaki écoulée chez ses représentants, celle de fiches de belle présentation au sujet de ses modèles, récents et passés.
Il y a cent ans naissait une légende, Soichiro Honda. Soit l'homme qui, à force de passion, de ténacité et une bonne dose de génie est parti de quelques bicyclettes accouplées à un stock de moteurs racheté en gros pour bâtir quasiment de ses mains un Empire.
Hier, 11 novembre, la fabuleuse collection amassée par l'icône cinématographique du siècle dernier, Steve Mc Queen, a été dispersée de part le monde, vendue à l'encans. Des pièces d'une magnifique rareté, dont beaucoup de motos de collection, preuve que l'acteur américain était un romantique épicurien fanatique des belles mécaniques et de la vitesse.
C'est au cours d'une vente aux enchères réalisée au Royaume-Uni que cette Norton a été vendue la coquette somme de 32000 Livres soit environ 47 644 euros. Cette Norton Manx 500cc de 1961 a crevé le plafond le 4 novembre dernier. La vente qui auparavant détenait le record était pour une Norton Manx 350cc qui avait été rachetée pour la somme de 36 837 euros.