Avec l'annonce du départ de Sebastian Vettel de l'équipe qui lui a permis de devenir champion du monde à 4 reprises, on savait que l'onde de choc allait impacter d'autres ténors du championnat. La suite de ce jeu de chaises musicales se poursuit avec l'annonce surprise de la signature (pas encore officielle) de Lewis Hamilton chez McLaren l'année prochaine.
Si Nico Rosberg a réussi à devancer son équipier aux essais qualificatifs du Grand Prix du Japon, c'est bien Lewis Hamilton qui remporte la course stoppée au 45e des 53 tours prévus. Le drapeau rouge définitif a été brandi suite à l'accident dont a été victime Jules Bianchi dont la Marussia a percuté une grue. Gravement blessé à la tête, le pilote français a dû être opéré d'urgence.
Cette fois-ci on y est. Le retour de vacances des pilotes de F1 n'a pas atténué le désir de victoire des pilotes Mercedes, seuls en lutte pour le titre de champion du monde 2014 (puisqu'on a privé Ricciardo de 25 points sur le Grand Prix d'ouverture en Australie). Désormais, chaque course est le prétexte à une mésentente ou un accrochage. L'épisode belge a viré au « casino » après que tous les protagonistes ont perdu leur nerf à la fin de la course. Mais Rosberg est-il vraiment allé trop loin ?
Ce week-end, en Belgique, sur le magnifique circuit de Spa-Francorchamps, la Formule 1 reprend ses droits avec une lutte toujours aussi intense chez Mercedes entre Nico Rosberg et Lewis Hamilton. Avant cela, ce dernier a accordé une interview vidéo à l’un des partenaires de l’écurie Mercedes AMG Petronas.
Aucun des 3 premiers aux essais (Rosberg, Vettel, Bottas) n'est au final sur le podium de ce Grand Prix de Hongrie aux multiples rebondissements. La pluie, une piste piégeuse, un safety car souvent sorti, voilà les ingrédients pour une course palpitante qui a vu Daniel Ricciardo signer sa deuxième victoire de l'année devant un Alonso consistant et un Lewis Hamilton miraculé.
Voilà une étonnante déclaration de la part de Toto Wolff, le nouveau patron du team F1 Mercedes AMG. Selon lui, Lewis Hamilton est entré dans une période de doute pour la simple et bonne raison qu'il n'avait pas anticipé la pointe de vitesse de Nico Rosberg. Souvent devancé par son équipier dans l'exercice des qualifications où il est considéré comme un des tout meilleurs, le pilote anglais conserve tout de même les devants au championnat malgré la victoire de Rosberg à Monaco.
C'est dans un spot publicitaire pour la nouvelle Mercedes A 45 AMG que nous retrouvons les deux pilotes de Formule 1, coéquipiers depuis cette saison chez Mercedes.
Le dernier Top Gear (l'épisode 4 de la saison 19 diffusé dimanche) était sans conteste le meilleur depuis le début de l'année et probablement un de ceux qui restera en mémoire grâce à la partie de rugby en … Kia ! Mais pas seulement. Le programme de l'épisode était parfait, les discussions entre le trio vous collaient le sourire (voire le rire) et c'est Lewis Hamilton qui fut invité à faire un chrono dans la « voiture pas chère » réservée aux pilotes de F1. Oui, le champion du monde de F1 déjà invité en 2008 dans l'émission avait réalisé son chrono sur une piste humide et « huileuse » alors que Sebastian Vettel ou encore Rubens Barrichello avaient réalisé un meilleur temps sur le sec. Il était donc de retour pour battre le record, ce qu'il fit !
Décidément, la morale fait rage en Formule 1 ces derniers temps. A l’issue du précédent GP disputé à Abu Dhabi, Sebastian Vettel et Kimi Räikkönen s’étaient vus tancer par la FIA qui avait jugé leur vocabulaire inadéquate à l’occasion d’une interview réalisée par l’ancien pilote David Coulthard. Dans le cadre du GP d’Austin disputé le week-end dernier, c’est avant même le début du GP que la polémique autour des casques de Hamilton et Vettel.
Il semble que l'équipe de F1 McLaren soit douée pour nous faire croire à l'entente de ses pilotes … jusqu'au jour où l'on découvre que, non, ses pilotes sont tout aussi individualistes qu'ailleurs. Ainsi, on a longtemps cru que la paire Hamilton/Button était plus qu'un simple duo mais à l'heure de la rupture entre Hamilton et McLaren, le vernis craquelle. Lewis Hamilton s'attaque une nouvelle fois à Jenson Button via Twitter. Pas sûr que ça contribue à améliorer sa popularité.
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