Le géant américain veut anticiper une nouvelle crise et lance un plan d'économies, avec réduction du nombre d'employés et fermetures d'usines.
Il y avait les superchargers de Tesla. Il y a aujourd'hui le réseau en développement de bornes de recharge des constructeurs allemands, avec des puissances allant jusqu'à 350 kW. Il y aura, demain, des bornes développées par General Motors, qui promet quelque 300 km d'autonomie en seulement 10 minutes de recharge.
Après la pile à combustible, les batteries. General Motors annonce en effet qu'il va collaborer avec Honda pour le développement d'une nouvelle génération de batteries, plus denses, plus légères et plus rapides à recharger.
La blockchain, cette technologie informatique réputée inviolable, permettrait de sécuriser bien des échanges dans le domaine de l'automobile, toujours plus connecté. Justement, Renault, BMW, General Motors et Ford annoncent une collaboration de recherche dans le domaine. Notamment pour préparer la voiture autonome.
La voiture autonome, ce n'est pas juste un véhicule doté d'une intelligence artificielle, c'est aussi des capteurs, un réseau de communication avec l'environnement et les autres véhicules ou encore une cartographie précise. Et selon une récente étude, les plus avancés sont General Motors, en tête, devant Google. Les constructeurs sont dépassés par le géant de la Silicon Valley.
Qui aux États-Unis sera le premier constructeur capable de mettre en circulation une voiture pleinement autonome ? Une course est véritablement lancée et pour le moment, la prévision la plus proche est l’apanage de la General Motors. Si le compatriote et concurrent Ford envisage ainsi l’échéance à 2021, le premier constructeur de l’Once Sam affirme tenir le délai pour 2019. Et les choses semblent se préciser puisqu’une demande d’autorisation l'autorisation de pouvoir tester une voiture sans volant ni pédales a été formulée auprès des autorités.
General Motors pourrait bien faire un retour en Europe après avoir quitté le Vieux Continent en arrêtant les aventures Saab, Chevrolet et Opel. Le groupe américain ne reviendrait cependant pas comme constructeur, mais plutôt pour proposer des services à la mobilité.
Si vous pensiez qu'il y avait déjà trop de sources de distraction à bord de nos autos, attendez de voir ce que prépare General Motors aux Etats-Unis. Le groupe américain va en effet équiper certaines de ses autos d'un outil électronique permettant d'effectuer des achats en ligne, confortablement assis dans son auto.
Les trois grands de Detroit sont habituellement des rivaux, mais avec le temps, des alliances se sont nouées. Si bien qu'il n'est plus très étonnant de voir un General Motors collaborer avec son grand concurrent Ford. GM est même allé jusqu'à faire un don de 5 millions de dollars au musée de la marque à l'ovale bleu.
Les rappels de véhicules en Chine ont repris avec une certaine ampleur. Volkswagen vient d’y passer avec un rappel de 4,86 millions de ses voitures. Le voilà suivi par le constructeur qui est son dauphin sur ce premier marché mondial. En l’occurrence, la General Motors, qui va faire la moitié du même effort avec la convocation de 2,5 millions de ses modèles. Les deux sont les conséquences collatérales du scandale des airbags Takata qui a déjà contraint plus de 100 millions de véhicules de par le monde à repasser par leurs ateliers.