Un bus à impériale avait été prévu pour faire défiler les Bleus dans Paris en cas de victoire face au Portugal, avec un décor spécial « Champions d'Europe ». Vous connaissez l'issue du match… que certains avaient deviné avant même le coup d'envoi à cause de cet autocar, frappé d'une véritable malédiction.
C’est une disposition au projet de loi Justice du XXIe siècle qui avait attiré défavorablement l’attention malgré ses bonnes intentions. Une possibilité pour les forces de l’ordre de capter les données d'une voiture à l'occasion d'un contrôle qui ouvrait aussi la voie à une verbalisation a posteriori. Une perspective qui s’éloigne avec un amendement récemment adopté.
Il fallait bien s’y attendre, et c’était d’ailleurs attendu par un groupe Volkswagen qui est maintenant connu mondialement pour avoir sciemment truqué ses moteurs pour les rendre vertueux aux normes antipollution. De quoi écorner une réputation bien établie. Mais au vu de ces résultats, on est en droit de se demander si le nom n’a tout simplement pas perdu son honneur.
L’histoire est passée au second plan de l’actualité mais elle risque de retrouver très vite la lumière des projecteurs. Surtout si les personnes concernées se décidaient à se mobiliser, ce qui ne manquerait pas de se faire remarquer en cette période de vacances. Imaginez des aéroports sans des taxis bloquant les autoroutes. Pourquoi ? Parce que l’indemnisation les chauffeurs qui veulent vendre leur licence annoncée par nos dirigeants n’a toujours pas été conceptualisée.
C’est la suite logique d’un panel de vignettes dite « Crit’air ». Un dispositif dont on a la délicatesse de nous dire qu’il n’est pas obligatoire au niveau national, mais qui sera pourtant indispensable pour circuler dans une zone urbaine qui va faire florès : celle dite de circulation restreinte. Un véhicule n’ayant pas de vignette pourra ainsi être sanctionné d’une amende de 3e ou 4e classe selon sa catégorie. Autant dire qu’il faudra y passer.
Qui de l’homme ou de la femme est le plus un danger sur la route ? En voilà une question ancestrale qui a su alimenter les conversations et les sous-entendus. Il en est même ressorti des expressions populaires pas vraiment à l’avantage du sexe dit faible. Quelle est la situation en 2016 ? C'est ce qu'a voulu savoir Minute-Auto.fr en sondant les habitudes des hommes et des femmes derrière un volant au cours des douze derniers mois.
L’assurance automobile : voilà un thème qui, souvent, suscite passion, critique et désillusion lorsqu’il alimente la conversation du quotidien. Les noms d’oiseau finissent par fuser avec des rimes bien senties du genre « assureur voleur ». Mais dans l’intimité de chaque automobiliste, quel est exactement le sentiment ? Un sondage a décidé de répondre à cette question. Pour livrer une réponse étonnante.
Il va bien falloir s’y résigner : la voiture de demain ne sera plus cette complice docile menée au doigt et à l’œil, témoin muette de vos pulsions les plus secrètes. D’abord, elle ne vous laissera plus la conduire. Mais en attendant l’aliénation complète, ladite automobile se fait juge de votre comportement, vous positionne dans l’espace et le temps pour mieux moucharder au premier demandeur venu. Enfin presque. Parmi eux, les assureurs, qui jurent que c’est pour le bien de vos cotisations.
Lors de sa dernière intervention, la ministre de l’Écologie ne s’est pas contentée de crier haro sur le diesel. Le gas-oil n’est plus en odeur de sainteté et la fiscalité à son endroit va changer, s’ajoutant ainsi à un dispositif qui l’emmure dans une réglementation de plus en plus restrictive. La fin de son règne sur le marché est annoncée, mais la relève arrive.
Lorsque l’on parle de pollution liée à l’automobile, on se focalise sur une qualité de l’air respirable à l’extérieur d’une voiture vouée aux gémonies. Son conducteur y compris. L’association 40 millions d’automobilistes a voulu élargir le débat en signalant que le même automobiliste était aussi une victime d’un air vicié. Y compris dans un habitacle où l’on estime que les concentrations de polluants sont quatre à six fois plus élevées que dans la rue.