La fin d’année est l’occasion de jeter un coup d’œil dans le rétro. Chaque jour pendant cette période des fêtes, les journalistes de la rédaction de Caradisiac vous font part de leurs enthousiasmes et de leurs coups de griffes. Aujourd’hui, Stéphanie, journaliste enquêtrice pour Caradisiac, vous donne son top/flop 2022.
Nous vous en parlions il y a quelques jours, les parkings de l’usine Stellantis de Sochaux affichent complets. Confronté à des problèmes de stockage, Stellantis est contraint d’utiliser un aérodrome désaffecté à une quarantaine de kilomètres du site de production.
Si le prix des véhicules neufs continue son inflation, c’est également le cas pour le tarif des voitures d’occasions. Avec moins de véhicules en vente sur le marché de l’occasion, les prix s’envolent.
Après plusieurs jours de frénésie dans les stations-service de France, le calme est revenu en fin de semaine dernière. Un apaisement favorable au prix du carburant, qui selon les chiffres officiels, était en baisse, aussi bien pour le gazole que pour l’essence.
Était-ce le dernier salon de l’auto à Paris ? Je me le demande tant cette édition était déprimante. Peu d’exposants, mais plein de constructeurs chinois à la place des Européens, des Japonais et des Américains.
Selon la dernière enquête de l’Observatoire Cetelem, si près de 75 % des Français déclarent ne pas pouvoir se passer de leur véhicule, ils sont également 59 % à craindre de devoir le faire en raison du budget annuel moyen de 2 870 € qu’il nécessite. Une inquiétude qui monte chez de nombreux Français.
Vitrine des constructeurs, le prochain Mondial de l’Auto de Paris ouvrira ses portes dans quelques jours. L’occasion de découvrir les nouvelles gammes électriques de nombreuses marques, et leurs tarifs de plus en plus premiums. Une inflation qui s’éloigne petit à petit de la réalité du marché automobile français, comme en témoigne une récente enquête réalisée par OpinionWay pour Aramisauto.
Après le geste de la direction de Renault envers ses salariés, le groupe Stellantis va également verser à son personnel des primes exceptionnelles pouvant aller jusqu’à 1 400 €.
À la pompe, les tarifs des carburants continuent de baisser. Si l’essence semble avoir atteint un prix plancher qui ne fluctue plus que de façon infime, le diesel a de nouveau perdu plusieurs centimes € la semaine dernière.
La direction de Renault se disait ouverte à un geste en faveur de ses salariés, et elle a tenu parole. Chaque salarié de Renault travaillant en France recevra près de 1 000 € d’aides.