Ce n’est certainement pas ici que l’on va vous apprendre qu’entre le monde du bateau et celui de l’automobile, il existe des joints qui scellent des destins en commun. Parfois, la frontière est aussi qu’un papier de cigarette et c’est justement le spécialiste du hors-bord du Cigarette Racing qui a décidé de sortir un modèle spécial en l’honneur d’un bolide seulement accessible aux fumeurs de gros cigare : la Mercedes-AMG GT-R.
Le parfum du scandale du dieselgate commence à envelopper les hauts dirigeants de Volkswagen qui se voient contraints de s’expliquer devant la justice et autres commissions d’enquête. Il en est une en Allemagne qui tente de faire son office et elle est d’ordre parlementaire. Pour travailler, elle doit procéder à des auditions. Or on apprend que l'ex-président du directoire puis du conseil de surveillance de Volkswagen Ferdinand Piëch refuse de s'exprimer devant elle.
Dans le cadre d’un « Dieselgate » qui pèse lourdement sur son atmosphère, Volkswagen devait déjà faire face aux États puis aux consommateurs de ces États sans parler de ses propres concessionnaires exerçant de par le monde. À ce contingent se joignent à présent les sociétés qui lui ont fait confiance pour sa flotte. Et qui ont bu la tasse. Quoi de plus normal lorsque cette société est distributrice de produits de la mer Deutsche See.
Le spécialiste des véhicules de transport sans chauffeur Uber a réussi un joli coup en se mettant dans la poche le groupe Daimer-Benz. Ce dernier lui fournira des voitures pour son activité dans un futur proche. Mais les chauffeurs de la plate-forme américaine n’ont pas à se réjouir de cette nouvelle. Ils ne rouleront pas en Classe S pour autant et, même, ils risquent de ne plus rouler du tout. Puisque l’accord porte sur la mise à disposition de voitures autonomes.
Voici un arrêt fraîcheur dans une actualité parfois lourde. Une récréation d’autant plus sympathique qu’elle nous vient de chez Volkswagen, marque où l’on ne rigole pas tous les jours depuis la révélation du scandale du « Dieselgate ». Enfin, dans une atmosphère donnant la part belle à la répression, c’est le genre d’images qui bougent vite que l’on croyait banni à jamais. Voici le bus mené à la cravache par un chauffeur bien particulier. Et Macron n’y est pour rien.
La fumée des moteurs diesels truqués ne cesse de monter dans une affaire Volkswagen qui a éclaté en septembre 2015. Une fumée qui s’est élevée jusqu’aux hautes sphères, enveloppant à présent l’ex-patron Martin Winterkorn. Il avait récemment juré de son innocence devant une commission parlementaire. La justice semble penser exactement le contraire.
Si la situation n’était pas aussi grave, Volkswagen pourrait s’amuser d’une situation qui l’oblige encore et toujours à faire face à son action coupable sur les moteurs diesels sortis de ses usines. En ce moment, le groupe est convoqué par des parlementaires, des cours de justice et des enquêteurs qui lui demandent comment il a pu en arriver là. Une série « audition » pourrait donc égayer la gamme. Mais le moment n’est pas à rire. Surtout quand l’ex-patron Martin Winterkorn jure n’avoir jamais rien su d’un trucage qui a créé un nouveau terme : dieselgate.
Volkswagen travaille dur pour limiter les dégâts de ses errements à propos d’un logiciel truquer sciemment posé sur ses véhicules diesels pour les rendre vertueux face aux normes antipollution. Une tricherie qui touche 11 millions de ses modèles de par le monde et un scandale qui a abonné le constructeur à la chronique juridique de la planète. Quant au client victime, tout dépend de quel côté de l’Atlantique il est. Aux États-Unis, il est indemnisé, mais en Europe il est ignoré. Peut-être plus pour longtemps, car les Allemands se rebiffent.
On pensait l’affaire filmée après un quitus donné par la Commission Européenne. Un accord arraché le mois dernier par un gouvernement allemand désireux d’imposer un système de péage automobile pour les étrangers arpentant les routes. Mais au vu des réactions des voisins, il semblerait que l’épilogue ne soit pas si évident.
Las de voir que les constructeurs allemands ne se bougent pas pour proposer des véhicules électriques dignes d'être conduits sur d'assez grandes distances, le ministre allemand de l'Environnement a fait un choix protestataire et symbolique en achetant une Tesla Model S. C'est un peu comme si Ségolène Royal décidait de rouler en Volkswagen e-Golf.