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Volkswagen espère que cette fois, c’est l’épilogue de son volet américain d’un « dieselgate » qui l’occupe encore dans le reste du monde. En plaidant coupable de ses errements qui l’ont amené à poser un logiciel truqueur rendant ses voitures vertueuses au regard des normes antipollution, le premier constructeur mondial s’accorde avec le département de la justice (DoJ) des États-Unis. C’était dans les tuyaux depuis janvier dernier et c’est maintenant officiel. Voici la note.