Paris se lance dans le covoiturage et un Tchèque fait mieux qu'un Français
L'ACTU DE LA SEMAINE EN PHOTO - Depuis le lundi 3 mars, une grande partie du périf parisien est amputée d'une voie, réservée à ceux qui sont plusieurs dans leur voiture. Une défaite pour les autosolistes, alors que, de son côté, le Renault Scenic en subit une lui aussi, lorsqu'il est comparé au Skoda Elroq.

À Paris, pour rouler mieux faut-il rouler à deux ou plus ?

Ce lundi 3 mars, Paris s'est retrouvé amputé. C'est en effet avec une voie de moins que les autosolistes ont arpenté le périf. La cause ? La mise en place des voies de covoiturage que ne peuvent emprunter que ceux qui partagent leurs sièges avec d'autres occupants. Pour le moment, et d'après la vidéo que Pierre-Olivier Marie et Alain Dalbera ont tournés ce jour d'inauguration, aucun vent de révolte ne souffle sur la ceinture parisienne. Les automobilistes parisiens, blasés et aquoibonistes, semblent en avoir vu d'autres.
Retrouvez en détail et en vidéo le dernier épisode de l'aventure parisienne.
Le Skoda Elroq plus fort que le Renault Scenic

Certes, le SUV électrique tchèque est plus récent que le Français. C'est sans doute l'une des raisons pour que, dans cette confrontation électrique entre le Skoda Elroq et le Renault Scenic, le premier l'emporte sur bien des points. L'Elroq surclasse le Scenic en matière de consommation, de performances et de rapport qualité/prix. c'est beaucoup.
Retrouvez en détail ce comparatif.
Volvo : RIP le break

Les antiquaires sont en deuil. Le break Volvo va disparaître. Celui qui avait réussi à donner ses lettres de noblesse au break en question (un mot que plus aucune marque n'ose utiliser) va quitter le catalogue suédois. Les berlines vont survivre (en plus des SUV évidemment), en témoigne la présentation récente de l'ES90, mais pas les breaks, relégués aux oubliettes de l'histoire.
L'oraison funèbre du break Volvo, c'est par ici.
L'industrie auto en version kaki

L'Europe se réarme et dans cet effort de guerre voulu par Bruxelles, Berlin et Paris, l'industrie automobile devrait prendre sa part. Au travers des équipementiers bien sûr, dont plusieurs travaillent déjà pour l'industrie militaire, mais aussi au travers des constructeurs qui, tels Renault Trucks, fournissent déjà des véhicules de transport de troupes à l'armée française. Quant aux 4x4 purs et durs, mais nécessaires aux soldats, ils ont tendance à déserter les catalogues de Renault, Peugeot ou Citroën.
Retrouvez la filière automobile confrontée à l'effort de guerre.
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