Nouvelle Supra : Toyota n'avait pas trop le choix, il fallait opter pour un moteur BMW
Une enquête menée par Toyota avant le développement de la nouvelle Supra indiquait qu'il fallait un six cylindres, et rien d'autre. Le constructeur nippon n'a donc guère eu le choix et s'est tourné vers BMW, comme le confirme l'ingénieur en chef nippon.

Toutes les Supra avaient eu des six cylindres en ligne jusqu'à aujourd'hui, et selon Tetsuya Tada, le responsable du développement de la nouvelle, il ne fallait rien d'autre qu'un six cylindres pour cette Supra, qui sera dévoilée en janvier à Detroit. C'est en tout cas ce qu'affirme l'ingénieur en chef qui a confié à nos confrères d'Automotive News que Toyota n'avait pas trop le choix : vu qu'il n'existe aucun six cylindres en ligne chez Toyota, il fallait se tourner vers un partenaire, et si possible, un spécialiste du six cylindres.
Et dans ce cas, qui de mieux que BMW ? Personne, très probablement. Le Japonais a saisi l'occasion pour préciser, une fois de plus, que ce n'est pas parce que c'est un moteur BMW que cette Supra n'aura rien de "Toyota". Dont acte.
En attendant, l'auto reprend la plupart des organes du nouveau Z4, à commencer par le moteur, mais aussi la boîte de vitesses et la plateforme, mais aussi une partie des équipements électroniques.
Comme le rappellent nos confrères américains, Toyota dispose aujourd'hui de deux véhicules sportifs au catalogue, mais avec des moteurs Subaru et BMW. Heureusement, la Yaris GRMN avait, elle, un vrai moteur Toyota, mais elle n'est plus en vente.
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