Cette fois c'est officiel. Et les rumeurs ont été en tout point confirmées. Après 27 courses qui n'ont apporté que deux podiums et au bilan d'un classement général actuel au championnat pire que celui de l'an dernier, déjà décevant, Valentino Rossi et Ducati ont décidé d'arrêter les frais à la fin de l'année.
C'est décidément plus que de l'effervescence autour de la question de l'avenir de Valentino Rossi. Un mystère que la rumeur transalpine s'est largement chargée d'élucider en l'annonçant avec force arguments chez Yamaha.
C'est une édifiante interview du grand patron de Ducati, mais aussi à présent d'un cadre éminent de Lamborghini, qui est parue sur le site Cycle News. Un entretien dont une partie a été consacrée au feuilleton Moto GP de l'été intitulé « Quid de l'avenir de Valentino Rossi », mais aussi à l'implication en Superbike de la marque.
Et une pièce de plus à verser au dossier estival de la prochaine mutation de Valentino Rossi chez Yamaha ! Cette fois, elle nous vient de GPOne qui s'appuie sur un twitte qui sera peut être plus fiable que celui du compte piraté de Niall Mackenzie.
Le tourbillon de l'actualité nous ferait presque oublier qu'il y a quelques mois une série de secousses sismiques ébranlées la région d'Emilie Romagne, berceau industriel de la péninsule italienne.
Plus que des vidéos voici des moments historiques à se repasser en boucle ! Trois victoires françaises en Grande Bretagne, dont un doublé tricolore, ce n'est pas si souvent que la vitesse moto française s'est ainsi payée la part du gâteau.
C'est décidément une pluie de bonheur qui s'est abattue sur la moto tricolore ce week-end, du côté de Silverstone. Ce matin, nous nous demandions combien de Marseillaise dominicale allions nous avoir chez les Anglais. Sans imaginer néanmoins que l'on allait l'entendre par trois fois en quatre occasions possibles.
Dans la recherche de la Marseillaise en ce dimanche à Silverstone, Jeremy Guarnoni aurait pu montrer la voie lors de cette course de Superstock 1 000, disputée sur une piste sèche. Mais le pilote Kawasaki est tombé sur plus fort que lui.
En cette période olympique propice aux récompenses dorées et qui plus est sur les terres où elles sont actuellement distribuées, on ne peut que se laisser aller à l'ivresse d'un optimisme béat bercé par l'insouciance estival.
Comme attendu, c'est une Superpole de Superbike qualifiée d'humide qui s'est déroulée sur le tracé de Silverstone. Un doux euphémisme dont s'est néanmoins joué Jakub Smrz, au grand dam d'un public britannique rincé qui pensait bien que son compatriote Leon Camier avait fait le plus difficile.
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