Les pays du G7 accélèrent sur les véhicules autonomes
La technique pousse déjà à la roue qui est promise à se métamorphoser en centrifugeuse. Ceci par la magie du politique qui s’apprête à tout faire pour que la voiture autonome devienne au plus vite notre quotidien. Et pas qu’un peu : cette volonté affirmée nous vient du G7. Soit l’organisation qui réunit les sept pays les plus industrialisés qui se retrouvent en ce moment à Cagliari (Sardaigne).

Les pays du G7 se sont ainsi engagés à identifier et supprimer les éventuels obstacles légaux freinant le développement de la conduite autonome ou connectée. Les ministres des Transports concernés parlent d’une opportunité extraordinaire à ne pas manquer. La sécurité routière, la mobilité respectueuse de l'environnement, de nouvelles solutions de transports pour toutes les générations et les conditions, l’engin autonome, décidément, est la panacée.
La déclaration est limpide : "nous réaffirmons notre engagement à chercher à identifier et supprimer les obstacles potentiels dans les régulations à l'introduction de technologies de conduite automatisée et connectée, au niveau international et national". Côté obstacle, ce sont les questions légales et éthiques qui floutent l’horizon avec, notamment, cette brûlante question de la responsabilité en cas d’accident.
Mais les ministres des Transports des États-Unis, de l'Allemagne, du Japon, de l'Italie, de la Grande Bretagne, du Canada et un représentant de la France en ont décidé. Le véhicule de demain sera connecté et autonome. "Parvenir à des standards partagés au niveau international est notre objectif", a affirmé le ministre italien, Graziano Delrio.
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