Jazz, un nom prédestiné
Le jeudi, c’est le jour où les routes (de nuit) de l’automobile et de la culture se croisent ou convergent.

Quel constructeur pouvait mieux que Honda célébrer la journée internationale du Jazz ? Le constructeur japonais possède un modèle baptisé « Jazz » depuis 2001.
Cette voiture qui s’est peu vendue en France a en revanche connu une carrière internationale respectable et celle-ci se poursuit.
La Jazz sur le plan mondial en est à sa quatrième génération. Pour lui redonner un coup de fouet, le constructeur a associé cette gamme à la journée internationale du jazz organisée par l’UNESCO le 30 avril dernier dans cent quatre-vingt-dix pays à travers le monde.
Cela semblait évident, mais c’est la première fois que Honda exploite aussi judicieusement le nom de son petit monospace.

L’idée était d’impliquer un artiste reconnu dans une aventure singulière. Otis Lawrence, saxophoniste et DJ, a été choisi pour collaborer avec les techniciens du son chez Honda.
Le musicien a étudié le saxophone avec l’Anglais Bobby Wellins avant de travailler pour une multitude de stars internationales telles que Céline Dion ou Art Garfunkel.
Il s’est également beaucoup produit avec le London Gospel Community Choir.

De leur côté, les spécialistes de Honda ont créé une bande sonore en mixant les multiples bruits qui accompagnent la vie au sein d’une automobile. Ils ont enregistré les claquements des portes, les glissements des fenêtres et les frappes des capots, les stridences des mécanismes des sièges ou de la trappe du réservoir, et mille autres résonances mécaniques auxquelles nous ne prêtons plus attention, mais qui composent un fond sonore étrange et abstrait et typiquement automobile.
Otis Lawrence a improvisé des thèmes qui se marient avec ces tonalités concrètes enregistrées à bord d’une Honda Jazz e:HEV.

Cette rencontre a donné lieu à une performance unique et intrigante.
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