Essai Harley Davidson Breakout 2013 : "born to be wild"
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Demander à un journaliste spécialiste des hypersports, pardon, passionné par les hypersports, d'essayer une Harley, il peut y avoir dans la démarche quelque chose de troublant… et d'antinomique sur le papier.
C'est un peu comme demander à un pilote de course de bateaux off shore de passer sur un paquebot diesel et de lui demander ses impressions.
Et surtout n'allez pas répéter cette analogie au Daytona Bike week ! La rédaction de Caradisiac risque d'être décimée avant la fin du week end en question. Surtout que cette comparaison est fausse dans le cas présent.
Non bien plus sérieusement, un softail c'est quoi pour le néophyte ? Initialement, le terme désigne les motos qui disposent d'un système de suspension arrière avec des ressorts ou des amortisseurs cachés de la vue afin de donner à l'ensemble, l'apparence d'un cadre rigide.
Avec la sortie de la FXST softail en 1984, Harley est même devenue dépositaire de la marque « Softail ». Jugée désormais trop sage, la gamme Softail nécessitait une refonte pour réveiller les badboys qui sommeillent en nous. Parce que rappelons le, rouler en Harley, ça se mérite. On intègre pas comme cela, la multitude de codes véhiculés par les motos de la marque. Qui plus est, chacune d'entre elles possèdent ses propres codes et sa propre philosophie.
Parce que rouler en Harley, c'est plus qu'une religion ou un art de vivre, c'est aussi un art de rouler. Et cette Breakout en est la digne héritière.
* née pour être sauvage @Steppenwolf
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