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Essai BMW R1200 RS: quand une lettre change tout

Dans Moto / Nouveauté

Olivier Pagès

Essai BMW R1200 RS: quand une lettre change tout

Après l'introduction de son nouveau roadster, le R1200 R, BMW revient sur le segment des GT-Sport avec la R1200 RS. Savant mélange de sportive et de GT, ce nouveau modèle pourrait représenter le couteau suisse parfait. Découverte.


Souvenez-vous en 2005, BMW nous présentait sa R1200 ST, qui a été passablement critiquée en raison notamment de son look plus que particulier – pour ne pas dire autre chose. Sa carrière commerciale n'a donc jamais été à la hauteur des espérances et l'expérience a tourné court car elle a été retirée de la vente 2 ans plus tard. Un échec étonnant de la part de la marque à l'hélice, qui a dans ses gènes les notions de Grand Tourisme, comme en atteste le succès de la dynastie RT. 8 ans plus tard, BMW revient sur le créneau des GT-Sport. Cette longue coupure n'enlève rien à la légitimité de la firme allemande puisque le premier modèle RS (signification de Reise Und Sport, littéralement voyage et sport) datait de 1976. Il s'agissait de la R100 RS, première moto au monde construite en grande série à être équipée d'un carénage intégral solidaire du cadre.


Essai BMW R1200 RS: quand une lettre change tout


Pour cette R1200 RS, BMW n'est pas partie d'une feuille blanche puisque la base est le dernier roadster en date, le R 1200 R. Les principales différences portent sur l'apparition d'une tête de fourche au design très futuriste, composée notamment de deux projecteurs ovoïdes séparés par une barrette verticale à LED servant de feu de jour. Avec cette touche d'originalité, la signature visuelle est très réussie et permet à la RS de se reconnaître dès le premier coup d'œil. Le conducteur bénéficie d'une bulle réglable selon 4 positions (haute ou basse avec deux possibilités de fixation), soit un différentiel de hauteur de 4 cm. Parmi les autres changements, citons la selle passager plus large et le guidon plus cintré. Cela influe bien évidemment sur la position de conduite, un peu plus sur les poignets qu'avec le roadster mais au final plus relax. La hauteur de selle standard de 820 mm devrait convenir à la majorité des utilisateurs mais BMW a pensé aux autres avec trois types de hauteur de selle (840, 790, ou 760 mm).


Pas de surprise au niveau de l'instrumentation, strictement identique à celle de la R1200 R avec un compteur analogique et un large écran digital pour le tableau de bord. Comme nous l'avions déjà signalé, les informations sur l'affichage sont très complètes (Kilométrage total, trip 1 & 2, autonomie, températures extérieur & moteur, consommations & vitesses moyennes, date, niveau d'huile), un peu trop même car on a tendance à s'y perdre. Heureusement, il est possible de choisir entre 3 modes d'affichage.


Essai BMW R1200 RS: quand une lettre change tout


Deux couleurs mais pas que !

La R1200 RS est disponible en deux couleurs bicolores (Lupin blue metallic/lightgrey metallic et Granite grey metallic matt/blackstorm metallic) mais les différences ne se limitent pas au coloris. La première propose un cache-réservoir granite grey metallic mat, un cadre noir et des étriers de frein anodisés noir. La seconde se distingue pour sa part par un cache-réservoir acier inoxydable, un cadre grey metallic mat, des étriers de frein anodisés or et un sabot moteur blackstorm métallic.


Essai BMW R1200 RS: quand une lettre change tout


Comme à d'habitude sur les modèles siglés BMW, l'équipement de cette R1200 RS est très complet de série mais il est possible de piocher dans la liste d'options longue comme le bras. Notre modèle était "Full Options" avec le Pack Touring (1 445 € - suspensions ESA, ordinateur de bord Pro, la préparation GPS, la béquille centrale, le régulateur de vitesse, le porte-bagages et les supports de valises), le Pack Dynamic (595 €- éclairage diurne, modes de pilotage et clignotants LED), le Pack Comfort (405 € - échappement chromé, poignées chauffantes, contrôle de pression), le démarrage sans clé (300 €), le Shifter à la montée et à la descente (405 €), l'alarme (220 €) ou les différentes selles, soit la bagatelle de 3 370 €. Et ce n'est pas fini puisqu'il est possible de choisir également des accessoires comme la bagagerie, la navigation (699 €) ou le silencieux (990 €), très apprécié des propriétaires BMW.


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