Essai Aprilia Tuono V4 APRC 2014 : V4 Maestria !
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Prenez le porte étendard d'une marque, en l'occurrence, une hyper-sport quadruple championne du monde, enlevez lui simplement ses carénages, mettez-y un guidon plat, et vous avez en moins de deux, l'une des plus redoutables « naked bike » des dix dernières années.
Et il faut le reconnaître, peu de constructeurs mondiaux se sont risqués à conserver intégralement l'ADN de leurs hypersportives dans ces « versions dénudées ». Ducati avec son streetfighter sur base de 1198, ou BWM avec sa S1000R naked dévoilée il y a seulement quelques jour à Milan.
Quasi 1ère sur ce segment dès 2002, avec une tuono sur base de RSV 1000 – référence des V2 hypersports, Aprilia, auréolée de son tout nouveau titre de champion du monde des constructeurs en SBK se devait d'actualiser logiquement le fleuron de sa production au regard notamment des dernières technologies embarquées et surtout de la concurrence affichée par les autres constructeurs.
Comme sa grande sœur RSV4, la tuono de 2011, n'était pas non plus exempte de défauts ; on lui reprochait notamment une autonomie frisant le ridicule et d'être particulièrement exigeante à rouler, alors qu'unanimement tout le monde reconnaissait que la Tuono a définit une nouvelle référence en la matière.
Alors simple mise à jour marketing, ou vraies évolutions ?
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