Lentement, on redécouvre les grandes qualités de ce coupé technologiquement soigné et performant, qui plus est habillé par Giugiaro. Un nouveau classique dont la cote monte lentement mais sûrement.
Fait unique, sous sa robe néo-rétro, la Mustang cache un châssis qui l’est tout autant. Bourrée de charme mais jamais importée officiellement en France, elle se trouve pourtant aisément grâce à des vendeurs spécialisés. À partir de 15 000 €.
Nantie d’un V8 d’origine Ferrari, d’une carrosserie Pininfarina et d’un châssis très évolué, la Quattroporte est un concentré d’excellence à l’italienne, sans pour autant se montrer très chère en occasion. Il faut toutefois bien l’acheter.
Avec son flat-six refroidi par eau, la 996 a agacé les puristes mais rencontré le succès. Du coup, elle abonde sur le marché de l’occasion, devenant la moins chère des 911. Excellente, auto, elle voit sa valeur progresser : à vous d’en profiter.
Conçue pour être homologuée en Groupe N, la 205 Rallye comble en réalité le trou entre la XS et la GTI, ce qui lui garantit un succès qui surprend Peugeot. Néanmoins rare, elle a mérité sa place en collection.
Malgré son moteur ancien, la GT Turbo offre des performances de premier plan, mais c’est son châssis qui étonne encore le plus. Souvent modifiée et massacrée, celle qui terrifiait la 205 GTI est bien rare en bel état d’origine.
Revue de fond en comble, la Corvette de 5e génération devient une excellente voiture de sport, sans pour autant renoncer à son bon gros V8 culbuté ni à sa polyvalence. Performante, elle se déniche encore à prix très attractif !
Grande mais très fine et élégante, donc plus appréciée que les toutes dernières XJ, la X300/308 matérialise la quintessence de Jaguar. Une auto luxueuse et parfois performante qui ne coûte pourtant pas très cher.
La quatrième génération de BMW M3 fait figure d’exception dans sa lignée de par son moteur V8. Et son châssis est au top : une sportive à déguster dès maintenant car sa cote est à la hausse.
Renault n’a cessé de corriger sa Mégane II RS, critiquée pour son châssis à son lancement. Cela débouche en 2006 sur la F1 Team R26, une série spéciale dotée d’un différentiel à glissement limité. Rare et relativement abordable, elle mérite d’être collectionnée.