Par Axel015
Commentaires - Un pilote de F1 peut-il drifter ?
Un pilote de F1 peut-il drifter ?
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Par gibou78
Rasetta peut-il prétendre autant que notre gouvernement à nous prendre pour des cons =) j ai ma ptite réponse hin coquin
Par gibou78
En réponse à Axel015
Le pilotage (propre) c'est (entre autre) la gestion de l'équilibre de la voiture pour aller chercher les limites du grip.
Le drift on gère également un équilibre (différent puisque là justement on ne souhaite pas garder la voiture en ligne) donc pas surprenant que le coup de main soit rapide.
Je suis persuadé qu'un pilote de F1 sur une moto arriverait assez rapidement à maîtriser un wheeling sur la durée, car de la même manière : on est à la recherche d'un point d'équilibre. (pour peu d'avoir les bases de la moto avant ça).
Et puis j'imagine que les pilotes de F1 s'amusent un peu en dehors de la compétition avec des supercars et autres joyeusetés sur circuit en driftant à l'occasion.
Tu confonds drift et dérapage controlé,une 911 en dérapage controlé est conçue pour aller vite !
Par Axel015
En réponse à gibou78
Tu confonds drift et dérapage controlé,une 911 en dérapage controlé est conçue pour aller vite !
Je ne sais pas ce que sais qu'un dérapage contrôlé.
Soit tu parles d'un léger survirage en entrée de courbe lié au transfert de charge lors du freinage dégraissif et du braquage du volant : et dans ce cas oui ça fait gagner du temps sur le chrono mais c'est le concept de base du pilotage.
Soit tu parles d'un powerslide en sortie de virage qui n'est autre que le fait de passer le plus de puissance au sol quitte a devoir corriger légèrement au niveau du volant en cas de débordement du train arrière et oui ça permet si ça reste un angle limité de dérive d'optimiser la quantité de puissance que l'on peut passer au sol en sortie de virage et donc le chrono.
Mais 'derapage contrôlé' ça veut tout et rien dire.
Dans tous les cas : que ce soit un survirage en entrée, un power slide en sortie, ou véritable drift qui consiste à maintenir la voiture en dérive sur la durée : on est sur un exercice similaire : la recherche d'un équilibre.
Par Axel015
En réponse à Axel015
Je ne sais pas ce que sais qu'un dérapage contrôlé.
Soit tu parles d'un léger survirage en entrée de courbe lié au transfert de charge lors du freinage dégraissif et du braquage du volant : et dans ce cas oui ça fait gagner du temps sur le chrono mais c'est le concept de base du pilotage.
Soit tu parles d'un powerslide en sortie de virage qui n'est autre que le fait de passer le plus de puissance au sol quitte a devoir corriger légèrement au niveau du volant en cas de débordement du train arrière et oui ça permet si ça reste un angle limité de dérive d'optimiser la quantité de puissance que l'on peut passer au sol en sortie de virage et donc le chrono.
Mais 'derapage contrôlé' ça veut tout et rien dire.
Dans tous les cas : que ce soit un survirage en entrée, un power slide en sortie, ou véritable drift qui consiste à maintenir la voiture en dérive sur la durée : on est sur un exercice similaire : la recherche d'un équilibre.
je ne sais pas ce que c'est*
Par Axel015
Voila deux exemples parfaits de powerslide en course :
https://youtube.com/shorts/dK3kwQ5o74w?si=VvaZz6LiC8Hcrxdd
https://youtube.com/shorts/sNz2KoJ5YL4?si=25CQWO3qMqi116iy
Effectivement ce n'est pas du drift, néanmoins, c'est un exercice similaire : puisque qu'on recherche l'équilibre entre la puissance que l'on arrive a passer au sol et une dérive modérée et brève. Et dans les deux cas on doit ajuster l'angle du volant en fonction de la dérive.
La dérive en entrée de virage, elle, ne nécessite pas ou peu de correction au volant puisqu'elle aide a faire tourner la voiture. (on dit qu'on 'enroule' le virage) Et, de la même manière c'est un équilibre a maîtriser pour que ce soit favorable au chrono.
Tout ça pour dire que quand on passe sont temps a jouer avec l'équilibre d'une voiture, le drift est une formalité. Tout comme faire un wheeling/stoppie est une formalité pour un pilote de moto GP.
Par Axel015
En réponse à Axel015
Voila deux exemples parfaits de powerslide en course :
https://youtube.com/shorts/dK3kwQ5o74w?si=VvaZz6LiC8Hcrxdd
https://youtube.com/shorts/sNz2KoJ5YL4?si=25CQWO3qMqi116iy
Effectivement ce n'est pas du drift, néanmoins, c'est un exercice similaire : puisque qu'on recherche l'équilibre entre la puissance que l'on arrive a passer au sol et une dérive modérée et brève. Et dans les deux cas on doit ajuster l'angle du volant en fonction de la dérive.
La dérive en entrée de virage, elle, ne nécessite pas ou peu de correction au volant puisqu'elle aide a faire tourner la voiture. (on dit qu'on 'enroule' le virage) Et, de la même manière c'est un équilibre a maîtriser pour que ce soit favorable au chrono.
Tout ça pour dire que quand on passe sont temps a jouer avec l'équilibre d'une voiture, le drift est une formalité. Tout comme faire un wheeling/stoppie est une formalité pour un pilote de moto GP.
son* temps
Par Richard934
Non par contre il sait polluer....
Par Sylvain6911
L'adage qui peut le plus peut le moins se vérifie une fois de plus...
Par ZZTOP60
Le drift est devenu une spécialité à part entière. Je n'ai jamais eu l'occasion de pratiquer. Jadis , pour 'finir" leurs trains de pneus j'en ai vu faire. Personnellement, je n'ai appris qu'à passer en virage le plus vite possible et avec le moins de dérive possible que ce soit avec des tout à l'arrière ou moteur/AV propulsion.
Ce qu'on m'avait appris c'est que trop de puissance passée en patinage fumant était de la puissance perdue.(je ne parle pas de rallye avec épingles et revêtements divers).
En F1, c'e'st courant pour les pilotes de se défouler à cette technique qui s'apprend en effet.
La dernière vidéo de M VERSTAPPEN que j'ai vu et les commentaires au volant d'une Mazda RX-7 profondément remaniée, développant 600 chevaux avec son moteur rotatif !
« Apprendre à dériver était très fou, je ne savais pas à quoi m’attendre, a déclaré Max Verstappen. Je pense que c’est le moment où j’ai été le plus nerveux au cours des deux dernières années parce que ce n’est pas naturel par rapport à la façon dont je conduis habituellement."
Le drift comporte un côté spectacle qui , pour moi, n'est pas naturel comparé au pilotage en course ou propreté et efficacité sont mises en avant. Peut-être est-ce plutôt une discipline qui s'est adaptée au débordement de puissance disponible.
Par damon13
En réponse à Axel015
Je ne sais pas ce que sais qu'un dérapage contrôlé.
Soit tu parles d'un léger survirage en entrée de courbe lié au transfert de charge lors du freinage dégraissif et du braquage du volant : et dans ce cas oui ça fait gagner du temps sur le chrono mais c'est le concept de base du pilotage.
Soit tu parles d'un powerslide en sortie de virage qui n'est autre que le fait de passer le plus de puissance au sol quitte a devoir corriger légèrement au niveau du volant en cas de débordement du train arrière et oui ça permet si ça reste un angle limité de dérive d'optimiser la quantité de puissance que l'on peut passer au sol en sortie de virage et donc le chrono.
Mais 'derapage contrôlé' ça veut tout et rien dire.
Dans tous les cas : que ce soit un survirage en entrée, un power slide en sortie, ou véritable drift qui consiste à maintenir la voiture en dérive sur la durée : on est sur un exercice similaire : la recherche d'un équilibre.
freinage degressif, rien avoir avec la graisse.
Par Axel015
En réponse à ZZTOP60
Le drift est devenu une spécialité à part entière. Je n'ai jamais eu l'occasion de pratiquer. Jadis , pour 'finir" leurs trains de pneus j'en ai vu faire. Personnellement, je n'ai appris qu'à passer en virage le plus vite possible et avec le moins de dérive possible que ce soit avec des tout à l'arrière ou moteur/AV propulsion.
Ce qu'on m'avait appris c'est que trop de puissance passée en patinage fumant était de la puissance perdue.(je ne parle pas de rallye avec épingles et revêtements divers).
En F1, c'e'st courant pour les pilotes de se défouler à cette technique qui s'apprend en effet.
La dernière vidéo de M VERSTAPPEN que j'ai vu et les commentaires au volant d'une Mazda RX-7 profondément remaniée, développant 600 chevaux avec son moteur rotatif !
« Apprendre à dériver était très fou, je ne savais pas à quoi m’attendre, a déclaré Max Verstappen. Je pense que c’est le moment où j’ai été le plus nerveux au cours des deux dernières années parce que ce n’est pas naturel par rapport à la façon dont je conduis habituellement."
Le drift comporte un côté spectacle qui , pour moi, n'est pas naturel comparé au pilotage en course ou propreté et efficacité sont mises en avant. Peut-être est-ce plutôt une discipline qui s'est adaptée au débordement de puissance disponible.
"Ce qu'on m'avait appris c'est que trop de puissance passée en patinage fumant était de la puissance perdue.(je ne parle pas de rallye avec épingles et revêtements divers)."
Exact.
En théorie il ne faudrait pas du tout faire patiner les roues arrières avec une voiture de course sur bitume.
Mais la théorie se base sur un coefficient d'adhérence constant, or le grip n'est jamais constant (et c'est d'autant plus vrai sur la pluie).
Du coup, on admet une glisse "rationnelle" pour optimiser le chrono afin de rester le plus possible proche de la limite du grip quitte à parfois être un peu au dessus et devoir faire des corrections au volant.
C'est ce qui différencie la conduite dynamique sur route par exemple (où l'on est tout le temps en dessous de la limite de grip) et le pilotage où l'on est au niveau de la limite du grip et donc parfois légèrement au dessus.
Avec la Z je l'ai constaté sur circuit : si je laisse le TC activé (qui ne me laissera pas dépasser la limite du grip a aucun moment), je suis 1,5 secondes moins rapide au tour que sans le TC.
Par ZZTOP60
En réponse à Axel015
"Ce qu'on m'avait appris c'est que trop de puissance passée en patinage fumant était de la puissance perdue.(je ne parle pas de rallye avec épingles et revêtements divers)."
Exact.
En théorie il ne faudrait pas du tout faire patiner les roues arrières avec une voiture de course sur bitume.
Mais la théorie se base sur un coefficient d'adhérence constant, or le grip n'est jamais constant (et c'est d'autant plus vrai sur la pluie).
Du coup, on admet une glisse "rationnelle" pour optimiser le chrono afin de rester le plus possible proche de la limite du grip quitte à parfois être un peu au dessus et devoir faire des corrections au volant.
C'est ce qui différencie la conduite dynamique sur route par exemple (où l'on est tout le temps en dessous de la limite de grip) et le pilotage où l'on est au niveau de la limite du grip et donc parfois légèrement au dessus.
Avec la Z je l'ai constaté sur circuit : si je laisse le TC activé (qui ne me laissera pas dépasser la limite du grip a aucun moment), je suis 1,5 secondes moins rapide au tour que sans le TC.
"le pilotage où l'on est au niveau de la limite du grip et donc parfois légèrement au dessus." C'est ce qui me faisait écrire que lorsqu'on repasse toute la puissance il y a inévitablement risque de patinage et moins ça durait mieux c'était, au vu de la puissance dont on dispose maintenant, en drift pas étonnant qu'on ait ce résultat.
Sur route mouillée, c'est différent car cela s'apparentait davantage à de la "glissage contrôlée" (moins d'impact d'usure sur les pneus d'ailleurs) et cela permettait de passer plus vite en courbe.
Tu utilises les techniques actuelles, que ce soit en pilotage ou en matériel et tu es mieux placé que moi pour parler de tout ça.
Par Axel015
En réponse à ZZTOP60
"le pilotage où l'on est au niveau de la limite du grip et donc parfois légèrement au dessus." C'est ce qui me faisait écrire que lorsqu'on repasse toute la puissance il y a inévitablement risque de patinage et moins ça durait mieux c'était, au vu de la puissance dont on dispose maintenant, en drift pas étonnant qu'on ait ce résultat.
Sur route mouillée, c'est différent car cela s'apparentait davantage à de la "glissage contrôlée" (moins d'impact d'usure sur les pneus d'ailleurs) et cela permettait de passer plus vite en courbe.
Tu utilises les techniques actuelles, que ce soit en pilotage ou en matériel et tu es mieux placé que moi pour parler de tout ça.
C'est surtout que sur le mouillé, le grip n'est vraiment pas constant. Donc s'il fallait prendre le cas d'adhérence péjorants pour sa vitesse de passage en courbe par exemple : on se trainerait en permanence.
Du coup, il vaut mieux passer a 100 km/h en courbe par exemple et devoir faire de multiples corrections au volant a chaque fois que le grip baisse (flaque d'eau ou autre), que de passer a 90 km/h en étant sur un 'rail'.
Niveau chrono, y'a pas photo.
Par Twin1
Le jour où je tape un créneau comme ça... pour le moment j'ai arrêté. L'assurance en a marre.
Le pilotage (propre) c'est (entre autre) la gestion de l'équilibre de la voiture pour aller chercher les limites du grip.
Le drift on gère également un équilibre (différent puisque là justement on ne souhaite pas garder la voiture en ligne) donc pas surprenant que le coup de main soit rapide.
Je suis persuadé qu'un pilote de F1 sur une moto arriverait assez rapidement à maîtriser un wheeling sur la durée, car de la même manière : on est à la recherche d'un point d'équilibre. (pour peu d'avoir les bases de la moto avant ça).
Et puis j'imagine que les pilotes de F1 s'amusent un peu en dehors de la compétition avec des supercars et autres joyeusetés sur circuit en driftant à l'occasion.