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Commentaires - Route de nuit - Il y a 50 ans, la folie hyperréaliste

Serge Bellu

Route de nuit - Il y a 50 ans, la folie hyperréaliste

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Ce n' est toujours pas pire que les torrents de publicités qui nous agressent quotidiennement, à la télévision, à la radie, sur des affiches, dans les journaux, et bien sûr sur le net, à travers tous les écrans!

Perso, la publicité ne "crée" en moi aucun besoin particulier, au contraire je la fuis et résiste à tout achat superflu.

Par

La rue dans Paris est étonnement propre en 1972 :bien:

Aujourd'hui je n'ose imaginer :blague:

Par

J'aime ce genre de peinture se rapprochant de la photographie : très fort ces artistes -peintres!

Par

En réponse à integralhf

La rue dans Paris est étonnement propre en 1972 :bien:

Aujourd'hui je n'ose imaginer :blague:

   

Oui en voyant ça on dirait presque un film de SF. :lol:

Par

En réponse à deville70

Ce n' est toujours pas pire que les torrents de publicités qui nous agressent quotidiennement, à la télévision, à la radie, sur des affiches, dans les journaux, et bien sûr sur le net, à travers tous les écrans!

Perso, la publicité ne "crée" en moi aucun besoin particulier, au contraire je la fuis et résiste à tout achat superflu.

   

Pareil. Ça m'en touche une sans faire bouger l'autre. Je serais pour enlever toutes les pubs qui encombrent le paysage. Y compris sur les voitures. C'est limite dangereux pour tous les usagers. Y a déjà assez de manière d'être déconcentré qu'on soit au volant, à pieds ou en deux roues.

De plus les pubs sont aujourd'hui fauxcul. A la télé comme sur une affiche. Mangez 5 fruits et légumes, pour les trajets courts privilégiez la marche ou le vélo... Blablabla...

Moi j'ai faillit me taper une bagnole garée dans une place entre les deux voies une fois. Y avait une belle blonde en minijupe sur le trottoir d'en face. Je me souviens du coup de volant à droite que j'avais mis. :areuh: J'étais jeune dans les années 90... :violon: Je vous laisse imaginer quand y avait les pubs pour les gels douche ou soutif sur les arrêts de bus. :biggrin: C'est pas "Boire ou conduire" mais plutôt "Mater ou conduire" qu'il faut comme slogan pour certains. :roll:

 

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Par

En réponse à integralhf

La rue dans Paris est étonnement propre en 1972 :bien:

Aujourd'hui je n'ose imaginer :blague:

   

Fort à parier qu'un cliché pris dans cette même rue au même endroit un dimanche matin déboucherait sur une vision fort similaire Papamadit...

Aux bagnoles près... plus larges et plus hautes.

Et dans 10 ans, elles seront avec des fils qui pendouillent.

Le progrès ?

Par

En réponse à deville70

Ce n' est toujours pas pire que les torrents de publicités qui nous agressent quotidiennement, à la télévision, à la radie, sur des affiches, dans les journaux, et bien sûr sur le net, à travers tous les écrans!

Perso, la publicité ne "crée" en moi aucun besoin particulier, au contraire je la fuis et résiste à tout achat superflu.

   

Moi le vin blanc ça a tendance à me donner mal à la tête

Par

" la banalité omniprésence " :voyons:

Par

Étonnant de voir sur ce site des articles à courte vue sur la relation véhicule/environnement. Certes on sait son impacte. Mais il est infiniment moins grave que celui de la consommation du quotidien. Auquel on ne s'attaque guère.

En revanche, l'évocation du mouvement hyper réaliste, tenants et aboutissants, est fort appréciable. Une golden era d'erreurs et d'aveuglement où l'Amérique a une immense culpabilité à assumer.

Par

En réponse à Gdamac

Moi le vin blanc ça a tendance à me donner mal à la tête

   

Bois du vin rouge …

https://www.youtube.com/watch?v=MGI4qmDj64c

Par

En réponse à Waboo

Étonnant de voir sur ce site des articles à courte vue sur la relation véhicule/environnement. Certes on sait son impacte. Mais il est infiniment moins grave que celui de la consommation du quotidien. Auquel on ne s'attaque guère.

En revanche, l'évocation du mouvement hyper réaliste, tenants et aboutissants, est fort appréciable. Une golden era d'erreurs et d'aveuglement où l'Amérique a une immense culpabilité à assumer.

   

C'est justement ce qui nous intéresse sur ce site, l'automobile.

Par

J’ai reconnu une 204, ma première voiture perso, achetée d’occasion en 1971 après avoir roulé quelques années avec la 203 de mes parents, pendant les week-ends et les vacances.

Mauvaise pioche…L’huile rentrait dans l’embrayage tous les 20 000 kms. En appuyant un peu fort pour doubler un camion ou un car, c’était la surprise désagréable lorsque le joint spi lâchait : je restais planté sur la file de gauche.

Au bout de deux avaries et 40 000 kms…et quelques sueurs froides, j’ai liquidé l’engin, et changé de constructeur. Déjà, à cette époque, certains concessionnaires étaient des mauvais cons.

Par chance, le nombre de véhicules sur la route n’avait rien à voir avec ce que l’on trouve aujourd’hui.

Par

En réponse à

Commentaire supprimé.

   

Celui qui lui reprendra son taille gros anémique un bon prix.

Par

En réponse à

Commentaire supprimé.

   

Bon, pour rire un peu, il parait que les jeux de mollets sont des jeux de jambettes.

Pour en revenir au sujet, je me souviens d’une Ariane 8 cylindres, achetée en commun avec trois autres copains dans une casse/dépôt-vente en 66-67, pour une poignée de cerises, complétée par 8 bougies neuves et des durites. Quel moteur, increvable, qui séchait les 404 sur l’autoroute, mais quel gouffre !

En 71, lorsque j’ai commencé à toucher un salaire potable, on trouvait des Chambord d’occasion, mais elles étaient encore chères, et tout aussi gloutonnes.

Finalement, en prenant une 204 d’occasion vendue par un pro, qui consommait beaucoup moins, évidemment, j’ai regretté cet achat. J’avais fait un choix entre la voiture plaisir…et la voiture « économique ».

À propos des « bons cons », et pour sortir carrément du sujet, je ne sais pas ce que pense de moi, par exemple, un candidat à la députation, lorsque je mets mon bulletin dans l’urne…mais j’ai de gros doutes maintenant.

Par

C est un humain ou chatgpt qui a écrit l article ? :-)

Par

En réponse à integralhf

La rue dans Paris est étonnement propre en 1972 :bien:

Aujourd'hui je n'ose imaginer :blague:

   

A l' époque, on n' avait pas tous ces emballages et produits "jetables", et peut-être aussi un peu plus de savoir-vivre...

J' ai pris l' autoroute (!) pour aller en banlieue parisienne aujourd' hui, j' ai été horrifié par la quantité de déchets de toutes sortes sur les bords des voies!

Par

En réponse à deville70

A l' époque, on n' avait pas tous ces emballages et produits "jetables", et peut-être aussi un peu plus de savoir-vivre...

J' ai pris l' autoroute (!) pour aller en banlieue parisienne aujourd' hui, j' ai été horrifié par la quantité de déchets de toutes sortes sur les bords des voies!

   

Ça s'est la réduction des budgets d'entretien. Les gens de l'équipement (des fonctionnaires) sont de moins en moins nombreux et quand il n'y a plus de fonctionnaires, plus rien ne fonctionne.

L'appel a des entreprises privées est bien plus coûteux en plus d'être moins efficace.

Par

En réponse à GY201

Ça s'est la réduction des budgets d'entretien. Les gens de l'équipement (des fonctionnaires) sont de moins en moins nombreux et quand il n'y a plus de fonctionnaires, plus rien ne fonctionne.

L'appel a des entreprises privées est bien plus coûteux en plus d'être moins efficace.

   

En plus d' être catastrophique pour l' "image" perçue de nos routes et la situation environnementale, ça en devient dangereux: gros détritus style bris de palette avec clous, morceaux de toile plastique qui s' envolent, et j' en passe! Par endroits, ça prends quasiment toute la largeur de la BAU.

Pour reprendre au vif du sujet, s' il fallait peindre de tels "paysages" de la façon la plus réaliste sur tableau, ce serait effrayant. Est-ce que ça provoquerait une prise de conscience? Probablement pas.

Par

De nos jours c'est aussi hyper réaliste, non dénué d'intérêt par l'intermédiaire d'un autre prisme.

https://histoiredelartt2.wordpress.com/2017/11/30/giulietta-de-bertrand-lavier/

Par

En réponse à JF2

De nos jours c'est aussi hyper réaliste, non dénué d'intérêt par l'intermédiaire d'un autre prisme.

https://histoiredelartt2.wordpress.com/2017/11/30/giulietta-de-bertrand-lavier/

   

C'est pas du César mais c'est réaliste.

Par

En réponse à GY201

Ça s'est la réduction des budgets d'entretien. Les gens de l'équipement (des fonctionnaires) sont de moins en moins nombreux et quand il n'y a plus de fonctionnaires, plus rien ne fonctionne.

L'appel a des entreprises privées est bien plus coûteux en plus d'être moins efficace.

   

Tout s'explique : "pas assez de moyens, il nous faut des moyens...". Si on cherche encore la " théorie unitaire" en physique, c'est bon de savoir qu'elle existe en politique.

Par

En réponse à Hcc1

Tout s'explique : "pas assez de moyens, il nous faut des moyens...". Si on cherche encore la " théorie unitaire" en physique, c'est bon de savoir qu'elle existe en politique.

   

Bien sur que sans dépenses le travail n'est pas fait. Entre les panneaux à peine lisibles, les abords encombrés de végétation et de détritus, il y a tout pour être satisfait de ce que montre l'Île de France aux voyageurs qui arrivent à Roissy ou à Orly.

Nos infrastructures ressemblent progressivement a ce que l'on voit aux USA, ce n'est pas un compliment.

Effectivement tout ça est lié a la volonté de réduire des dépenses quand nos budgets sont déficitaires depuis longtemps. D'où la nécessité de relever l'imposition directe chez nous.

La réduction des impôts est une idéologie qui contraint à l'abandon de quantité de dépenses utiles pour les citoyens, la signalisation routière et la sécurité avec des abords propres sur les autoroutes sont une part de ces dépenses utiles.

Si tout ça n'est pas une évidence, il n'y a plus rien à dire.

Par

En réponse à GY201

Bien sur que sans dépenses le travail n'est pas fait. Entre les panneaux à peine lisibles, les abords encombrés de végétation et de détritus, il y a tout pour être satisfait de ce que montre l'Île de France aux voyageurs qui arrivent à Roissy ou à Orly.

Nos infrastructures ressemblent progressivement a ce que l'on voit aux USA, ce n'est pas un compliment.

Effectivement tout ça est lié a la volonté de réduire des dépenses quand nos budgets sont déficitaires depuis longtemps. D'où la nécessité de relever l'imposition directe chez nous.

La réduction des impôts est une idéologie qui contraint à l'abandon de quantité de dépenses utiles pour les citoyens, la signalisation routière et la sécurité avec des abords propres sur les autoroutes sont une part de ces dépenses utiles.

Si tout ça n'est pas une évidence, il n'y a plus rien à dire.

   

Je ne pense pas que tout soit une question de "moyens" donc d'arbitrage en faveur d3 le fonction publique. Il y a aussi (d'énormes) questions de management, d'organisation, de motivation... Parfois pour qu'une chose soit mieux (a définir) faite il ne suffit pas d'augmenter les ressources qu'on y alloue. Autant je pense que la redistribution est une marque de civilisation, autant je pense que le laisser-aller dans la dépense publique est signé de tiers-mondisation.

Par

En réponse à deville70

A l' époque, on n' avait pas tous ces emballages et produits "jetables", et peut-être aussi un peu plus de savoir-vivre...

J' ai pris l' autoroute (!) pour aller en banlieue parisienne aujourd' hui, j' ai été horrifié par la quantité de déchets de toutes sortes sur les bords des voies!

   

Ah l'éternelle image faussée du passé... encore et toujours.

Par

En réponse à roc et gravillon

Ah l'éternelle image faussée du passé... encore et toujours.

   

C'était mieux avant : on était plus jeune.

Par

En réponse à Hcc1

Je ne pense pas que tout soit une question de "moyens" donc d'arbitrage en faveur d3 le fonction publique. Il y a aussi (d'énormes) questions de management, d'organisation, de motivation... Parfois pour qu'une chose soit mieux (a définir) faite il ne suffit pas d'augmenter les ressources qu'on y alloue. Autant je pense que la redistribution est une marque de civilisation, autant je pense que le laisser-aller dans la dépense publique est signé de tiers-mondisation.

   

Personne n'affirme que "tout est question de moyens"!

Aux USA, sans doute champions du monde de la campagne électorale usant et abusant de la promesse de la diminution des impôts, on en est au point où certains trajets sont impossibles du fait qu'un pont menace de s'écrouler faute d'entretien!

Notez que, pendant ce temps, nombre de sociétés privées réalisent des bénéfices délirants, par exemple en fourguant des milliards de doses d'un produit frauduleusement appelé vaccin... aux frais du contribuable et à coup de déficits suicidaires.

Et ce, en plus des habituels coups de p... du lobby militaro-industriel, lequel engrange les bénéfs en envoyant d'innombrables jeunes gens au casse-pipe, sans compter les pertes civiles dits "dégâts collatéraux".

Pour tout cela, l'argent ne manque pas...

Par

En réponse à VARVILO

Personne n'affirme que "tout est question de moyens"!

Aux USA, sans doute champions du monde de la campagne électorale usant et abusant de la promesse de la diminution des impôts, on en est au point où certains trajets sont impossibles du fait qu'un pont menace de s'écrouler faute d'entretien!

Notez que, pendant ce temps, nombre de sociétés privées réalisent des bénéfices délirants, par exemple en fourguant des milliards de doses d'un produit frauduleusement appelé vaccin... aux frais du contribuable et à coup de déficits suicidaires.

Et ce, en plus des habituels coups de p... du lobby militaro-industriel, lequel engrange les bénéfs en envoyant d'innombrables jeunes gens au casse-pipe, sans compter les pertes civiles dits "dégâts collatéraux".

Pour tout cela, l'argent ne manque pas...

   

Je réagissais à des interventions récentes ou pas, de plusieurs intervenants, qui imaginent que le mauvais (!) fonctionnement de certains services publics s'améliorerait si on augmentait le nb des fonctionnaires. Alors que la réforme absolument nécessaire est ailleurs, mais aucun politique n'en n'a le cran. Il faut dire que la "population" n'aide pas les politiques en ce domaine.

Par

En réponse à Twin1

Oui en voyant ça on dirait presque un film de SF. :lol:

   

A voir de près: il devait probablement y avoir pas mal de crottes de chien: un fléau, à l'époque.

 

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