Par Gastor
Prochaine étape les caténaires pour longue distance !
Les 800 kWh du semi Tesla n'est pas une fatalité.
Le Japon prépare une voie d’autoroute réservée aux camions à conduite autonome
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Par Gastor
Prochaine étape les caténaires pour longue distance !
Les 800 kWh du semi Tesla n'est pas une fatalité.
Par tama abalone
Une débauche de technologie pour faire ce qu'un train peut faire depuis des lustres non ?
Par SaxoVTS99
En réponse à
Commentaire supprimé.
La technologie train-route existe déjà, elle est utilisée depuis près de 30 ans pour le tunnel sous la Manche mais aussi en Suisse pour le St Gothard et le Loetchberg, au Japon pour le tunnel du Seikan reliant Hokkîdo à Honshu .
Par Litch76
Prochaine étape : l'invention du train
Par BigL
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Commentaire supprimé.
OK, admettons ; mais quel est l'intérêt de véhicules autonomes si la dite autonomie se limite à l'autoroute et ne s'exerce pas de porte à porte ?
Par fedoismyname
100 km de voie dédiée entre 2 grandes villes...
Alors, et d'une, pourquoi ne pas prévoir dans ce cas un caténaire, et de deux, pourquoi ne pas opter plutôt pur le ferroutage, dans un pays où le système ferroviaire est l'un des plus avancés au monde ?
Par fedoismyname
En réponse à SaxoVTS99
La technologie train-route existe déjà, elle est utilisée depuis près de 30 ans pour le tunnel sous la Manche mais aussi en Suisse pour le St Gothard et le Loetchberg, au Japon pour le tunnel du Seikan reliant Hokkîdo à Honshu .
+1
rien de compliqué, et ça marche très bien.
pour le coup, les japonais, inventeurs du shinkansen, se fourvoient...
Par fedoismyname
En réponse à
Commentaire supprimé.
Ben imagine les conséquences chez nous, si on dédiait une voie sur toutes nos autoroutes au transport de marchandises par camion.
+ une voie dédiée au covoiturage, pendant qu'on y est.
Quand on a un système ferroviaire performant, comme au Japon, on essaye de l'exploiter au mieux. D'autant qu'ils n'ont pas de CGTistes, eux...
Par hpx
En réponse à E911V
Bonne question.
Que se passe-t-il une fois arrivé au bout de la section réservée ?
On pourrait imaginer un système comme les taxis. Mais au lieu d'avoir des chauffeurs qui attendent leur prochain client dans leur voiture, il y aurait un chauffeur de camion qui attendrait dans un local que son camion autonome arrive pour qu'il puisse prendre le relais.
Conduite autonome = matériel plus cher = gonfler ses marges auprès du client final = dans cet exemple, payer un vrai chauffeur 8h au lieu de 12...
Par GY201
En réponse à E911V
Bonne question.
Que se passe-t-il une fois arrivé au bout de la section réservée ?
100km, c'est au pire deux heures de trajet.
C'est forcément expérimental et l'intervention humaine à chaque bout du tronçon sera nécessaire, la simple montée à bord d'un chauffeur est quelque chose de simple qui limite les ruptures de charge des solutions concurrentes. Quand même, des zones tampons semblent nécessaires dans ce cas. Une autre option, conserver le chauffeur à bord, le temps autonome serait alors un temps à définir entre temps de repos et temps de conduite.
Par SF90
En réponse à SaxoVTS99
La technologie train-route existe déjà, elle est utilisée depuis près de 30 ans pour le tunnel sous la Manche mais aussi en Suisse pour le St Gothard et le Loetchberg, au Japon pour le tunnel du Seikan reliant Hokkîdo à Honshu .
Oui, le loetschberg tu mets ta voiture sur le train. En France ça existait aussi…
Par lorenzozozozo
comme quoi y a pas que chez nous qu'il existe des idées à la con.
Par lorenzozozozo
En réponse à GY201
100km, c'est au pire deux heures de trajet.
C'est forcément expérimental et l'intervention humaine à chaque bout du tronçon sera nécessaire, la simple montée à bord d'un chauffeur est quelque chose de simple qui limite les ruptures de charge des solutions concurrentes. Quand même, des zones tampons semblent nécessaires dans ce cas. Une autre option, conserver le chauffeur à bord, le temps autonome serait alors un temps à définir entre temps de repos et temps de conduite.
Impossible toutes les études sur le cerveau humain ont démontrées que la conduite autonome d'un véhicule n'a pas du tout le même impact qu'être sur des rails ( qui plus est un conducteur de TGV ne dort pas, ni un pilote d'avion).
IL n'est plus à démontrer que la conduite autonome est 3 fois plus fatigante nerveusement que la conduite normale à cause de la triple attention nécessaire.
Dormir voudrait dire que le conducteur n'est pas normal et surtout n'a aucune conscience du danger et de sa vie.
Je l'ai déjà expliqué et vous pouvez trouver les études à ce sujet facilement.
Par GY201
En réponse à lorenzozozozo
Impossible toutes les études sur le cerveau humain ont démontrées que la conduite autonome d'un véhicule n'a pas du tout le même impact qu'être sur des rails ( qui plus est un conducteur de TGV ne dort pas, ni un pilote d'avion).
IL n'est plus à démontrer que la conduite autonome est 3 fois plus fatigante nerveusement que la conduite normale à cause de la triple attention nécessaire.
Dormir voudrait dire que le conducteur n'est pas normal et surtout n'a aucune conscience du danger et de sa vie.
Je l'ai déjà expliqué et vous pouvez trouver les études à ce sujet facilement.
Tout ça est faux.
Les équipages renforcés (3 ou 4 pilotes) des avions long courrier ont des périodes de repos où le sommeil est prévu. Un Paris ↔ Santiago (Chili) se fait à 4 pilotes, le temps de vol est de l'ordre de 14h00, deux seulement sont requis à chaque instant. Je connais personnellement un vieux Mr, pilote retraité aujourd'hui, qui a accepté de faire des vols Los Angeles ↔ Paris avec tout un équipement portable d'EEG (électroencéphalogramme) aux commandes d'un DC10 UTA pour étudier toutes les réactions humaines dans les cas suivants: éveil, assoupi sur le siège et sommeil sur une couchette. Ces relevés ont participé à la mise en place de la réglementation nécessaire pour les vols de plus de 08h00 qui ont débutés avec le B747-400.
Pour les trains, je connais mal mais au delà d'une certaine durée de service, il y a une relève lors d'un arrêt en gare.
Il est humainement parfaitement possible de dormir dans un camion autonome en site dédié si la confiance est là. Le cas où le chauffeur serait appelé à faire face à une défaillance n'est pas un obstacle si la perturbation sur l'ensemble du flux est acceptée.
Par fedoismyname
Le conducteur du camion aurait donc droit à 90 minutes de sièste, le temps de faire les 100 km ?
J'espère au moins qu'ils ont prévu un bon réveil, pour lui demander de reprendre le volant au bout de la section.
Par fedoismyname
En France, on a la CGT et Sud Rail. A partir de là, les transporteurs ne sont pas près à financer le ferroutage, car ils savent ce que ça donnerait, in fine.
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