Par §LeD640gD
à force de poser la question, ils y arriveront un jour. Par contre, une mois la mesure passée, le retour en arrière sera impossible.
C'est un des grands défauts de nos démocraties : quand le peuple ne veut pas, ses dirigeants lui pose la question jusqu'à ce qu'il cède (ou mieux : comme Sarko en 2007 qui incluait d'office dans son programme l'adhésion au traité européen rejeté en 2005 par référendum)